Japon

À 56 ans d'intervalle, l'écrivain japonais Masayuki Miyazawa couvrira ses seconds Jeux Olympiques

By Ikuo Higuchi

(L'article qui suit est la version abrégée et traduite d'une histoire récemment parue sur le site de la Fédération japonaise de lutte)

Si couvrir les Jeux Olympiques peut être considéré comme un honneur dans la carrière d'un journaliste, les occasions ne sont pas si rares. Mais couvrir deux éditions des Jeux dans la même ville à 56 ans d'intervalle est une autre chose.

Écrivain de lutte, l'auteur Masayuki Miyazawa remplira ce tour de force dans moins d'une année à l'occasion des Jeux de Tokyo 2020, après avoir couvert l'édition de 1964 pour le quotidien sportif Nikkan Sports.

Depuis, Miyazawa est devenu un pilier de la scène de lutte japonaise, non seulement comme un reporter sans égal mais aussi en tant qu'éditeur, représentant officiel de la Fédération japonaise, entraîneur impromptu et non-conformiste.

"Je ne veux pas être simple spectateur, je veux faire mes reportages en scène," dit Miyazawa, depuis longtemps retraité du Nikkan Sports et qui souhaite, si sa santé le permet, être associé en tant qu'écrivain aux prochains Jeux de Tokyo. Il aura alors 90 ans.

Miyazawa est toujours conseiller pour la Fédération japonaise de lutte, sans oublier ses racines : bien qu'une place lui ait été réservée parmi les officiels de la Fédération pour la Coupe de l'Empereur, il rejoint toujours la section réservée à la presse pour s'asseoir parmi ses pairs. "Je suis un journalise, à vie," commente-t-il.

Miyazawa n'avait pas conscience que ce doublé tokyoïte lui donnait une place particulière dans l'histoire du journalisme jusqu'à ce qu'un collègue lui dise qu'il entrerait ainsi dans le Guiness Book.

Miyazawa est loué pour ses longues années de contribution envers la lutte par le Président de la Fédération japonaise de lutte (FJL) M. Tomiaki Fukuda lors de la célébration, en 2012, de la première médaille d'or olympique remportée par un lutteur (Tatsuhiro Yonemitsu) de l'Université Takushoku, là où Miyazawa fit ses études. (photo : Ikuo Higuchi)

La curiosité maladive de Miyazawa l'a amené à dévoiler quelques-uns des plus grands scoops sportifs de l'histoire du Japon.

Alors au Nikkan Sports, Miyazawa avait publié sur la retraite d'un des champions légendaires du sumo, Yokozuna Wakanohana I (l'épouse de Yokozuna avait appelé Miyazawa). Lors des Jeux d'Asie de 1962 de Jakarta en Indonésie, Miyazawa, qui avait étudié l'indonésien à l'Université Takushoku, avait obtenu un entretien exclusif avec le Président Sukarno, en pleine crise politique à ce moment.

Miyazawa officie en tant qu'arbitre, l'un de ses nombreux rôles, lors des GANEFO (Jeux des nouvelles forces émergentes) de Jakarta en 1963. Il y agit également comme juge et entraîneur de judo et journaliste (photo : avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa). 

Bien qu'il ait fait carrière principalement dans la lutte, il couvrait également d'autres sports, dont le judo, la gymnastique, le karate, le pentathlon et les Jeux Paralympiques, assez pour remplir de nombreux volumes.

Retrouver le médaillé perdu
L'une des plus grandes réussites de Miyazawa fut de retrouver un médaillé olympique japonais qui avait disparu sans laisser de trace. Miyazawa ne retrouva Katsutoshi Naito pas seulement sain et sauf au Brésil mais raconta une histoire fascinante dont peu de Japonais avaient connaissance.

L'histoire de la lutte japonaise remonte en quelque sorte à Naito, un judoka qui, dans les années 20, fit le rare et audacieux choix de traverser l'océan pour rejoindre l'Université de Penn. Il y rejoint l'équipe de lutte et, avant l'établissement de l'Association universitaire nationale d'athlétisme (NCAA), remporta le titre interuniversitaire de la côte est en 1924.

Les sentiments anti-immigrants étaient forts aux États-Unis à cette époque, et les Japonais établis aux USA n'en souffraient pas moins que les autres. Naito faisait donc profil bas, ce qui ne l'empêcha pas de trouver le succès. Un politicien japonais, espérant améliorer les relations entre les deux pays, fit en sorte que Naito puisse concourir aux Jeux Olympiques de Paris en 1924.

Katsutoshi Naito, à gauche, lutteur vedette de l'université d'État de Penn, vainqueur de la première médaille olympique de lutte pour le Japon - le bronze des Jeux de Paris en 1924. (Archives de la FJL)

Naito remporta la médaille de bronze de lutte libre, classe des 61kg, aux Jeux de Paris, la première médaille olympique du Japon en lutte et la troisième toutes disciplines confondues - après les deux médailles d'argent remportées en tennis par le Japon lors des Jeux d'Anvers de 1920.

Naito retourna au Japon après les Jeux et tenta d'introduire la lutte dans le pays. Mais il fut à l'époque impossible de faire face à l'emprise du judo, sport national du Japon. Naito, qui avait étudié l'horticulture aux États-Unis, partit alors pour le Brésil, où une large population japonaise immigrée s'était développée. Tout en établissant une entreprise d'horticulture, Naito introduisit le judo auprès de ses hôtes.

Ce n'est qu'en 1932 que la Fédération japonaise de lutte fut établie. Naito s'était effacé des mémoires et personne ne savait où il se trouvait.

Vers la fin des années 50, Miyazawa mit tous ses efforts dans la recherche de ce héros de la lutte japonaise. Par courrier postal, il obtint l'assurance que Naito vivait au Brésil. Miyazawa joua ensuite un rôle essentiel pour que Naito et son épouse assistent aux combats de lutte des Jeux de Tokyo de 1964, où il les rencontra pour la première fois.

Naito a pu éprouver de la fierté de constater comment la lutte s'était désormais implantée de façon durable au Japon et sa réussite, car le Japon obtint alors 5 médailles d'or.

C'est plus tard que Miyazawa s'attacha à la tâche de raconter l'histoire de Naito. Elle fut publiée en octobre 1987. "Je suis allé trois fois au Brésil et trois fois à l'Université de Penn," se souvient-il. Il fut accueilli aux USA par Hachiro Oishi, entraîneur de longue date de Nittany Lions.

En 1985, Miyazawa accompagne Tomiaki Fukuda, l'actuel président de la FJL, et Kazuko Oshima, la première lutteuse japonaise, pour faire un compte-rendu de la participation d'Oshima au premier tournoi international de lutte féminine de l'histoire, organisé à Clermond-Ferrand. Miyazawa a prolongé son séjour pour visiter les sites des JO de 1924 et se rapprocher de la route suivie par Naito à l'époque. Miyazawa est devenu incollable sur la vie de Naito : "Le 14 juillet, c'est là que Naito a remporté sa médaille de bronze."

Miyazawa, au milieu, pose au Brésil en 1990 avec Katsuhiro Naito, à gauche, le fils aîné de Katsutoshi Naito, et Tatsuo Oishi, le grand frère de l'entraîneur Hachiro Oishi, habitant São Paulo. Sur le mur, le diplôme reçu par Katsutoshi Naito pour sa médaille de bronze des JO de Paris en 1924. (photo avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa)

Pour la postérité
Pendant plus d'un quart de siècle, des JO de Tokyo en 1964 à mars 1990, Miyazawa fut l'éditeur du mensuel de la Fédération japonaise de lutte, tout d'abord appelé Lutte amateur du Japon, puis Mensuel de lutte et maintenant Lutte olympique. En 1964, la lutte n'était qu'un sport amateur strictement dépendant de l'aide financière du gouvernement et les moyens étaient limités. Miyazawa travaillait donc pro bono, en addition à son travail à temps plein.

Un président de la FJL insistait pour que la presse couvre tout, même les mauvaises nouvelles. La plupart des membres de la fédération considéraient cependant les relations avec les médias comme frivoles. "Dépenser de l'énergie en relations publiques n'amène pas de médaille d'or" constituait le refrain quotidien.

"Je ne me souviens pas avoir reçu quelque compensation que ce soit pour écrire, éditer, me déplacer ou tout autre dépense," dit Miyazawa, qui trouva également le temps d'être le directeur de l'équipe de lutte de son université pendant 10 ans, après que celle-ci fut reléguée en troisième division régionale. En 2012 Tatsuhiro Yonemitsu (lutte libre 66kg) devint le premier lutteur de l'université Takushoku médaillé d'or olympique.

Lors des débuts du magazine, il n'y avait ni fax ni email, et Miyazawa devait rencontrer l'imprimeur à la gare Shinjuku de Tokyo entre deux articles pour le Nikkan Sports. L'imprimeur lui rendait ensuite la première épreuve pour corrections. Les résultats des tournois étaient donc publiés avec trois ou quatre mois de retard.

Pourquoi insister ? Selon Miyazawa, il s'agissait de remplir la mission du journaliste : préserver l'histoire exacte d'une discipline qu'il vénérait pour les générations futures.

Un officiel de la fédération dit un jour à Miyazawa, "Si quelqu'un cherche des résultats, il n'a qu'à venir au bureau. Ne devrais-tu pas inclure plus d'histoires ?" La réponse était non pour Miyazawa. Il demeurait plus important de conserver les résultats pour la postérité. Ses soutiens, dont un officiel de la fédération, remarquait que s'il serait facile pour quelqu'un habitant Tokyo de passer au bureau, ce serait impossible pour les autres. "Beaucoup sont intéressés par les résultats. Voir les noms imprimés, parfois le sien, reste très motivant."

D'autres le loueront plus tard, en disant que les détails et résultats compilés par Miyazawa sont infiniment utiles pour établir des récompenses et avoir une vue d'ensemble.

Miyazawa a aussi révolutionné la terminologie de la lutte au Japon. Une "période" était un "tour" et des références telles que "poids mouche" remplaçaient le classement en kilogrammes. Il semble que cette terminologie de boxe était due aux journalistes couvrant les sports de contact. Miyazawa se détermina à aligner le Japon sur le reste du monde après avoir assisté à un tournoi international. "Lorsque j'ai mentionné les poids mouches, un lutteur européen n'avait aucune idée de quoi je parlais."

Comme la lutte fut importée des États-Unis, Miyazawa se demanda si là-bas des termes de boxe étaient aussi utilisés. L'entraîneur de l'Université Kokushikan et contributeur du site de la FJL William May, lutteur universitaire dans le Minnesota, lui répondit que non. Miyazawa, sans consulter personne, utilisa immédiatement la nouvelle terminologie. Personne n'eut à s'en plaindre.

Miyazawa pose avec la première lutteuse japonaise Kazuko Oshima, troisième à partir de la droite, après un combat de démonstration de lutte féminine à l'occasion de la Coupe des supers champions à Tokyo en 1985. (photo avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa)​

Toujours en course
Miyazawa a également soumis sa candidature pour être un porteur de la flamme olympique l'année prochaine. Il sait que s'il est sélectionné, il sera lui-même - cette fois - sujet d'attention médiatique.

Sa santé actuelle est cependant un plus grand sujet d'inquiétude. Opéré pour des calculs biliaires, on lui a découvert un cancer de la prostate, heureusement bénin. Selon son docteur, des injections d'hormones lui garantissent encore de 5 à 10 ans de vie, suffisamment pour assister aux JO de Tokyo.

Sa condition s'est récemment stabilisée. La vie d'un reporter était tout sauf saine. Horaires irréguliers, travail nocturne et célébrations entre collègues jusqu'au petit matin constituaient la norme, comme fumer en tapant à la machine. Même si Miyazawa n'a jamais été fumeur, il n'avait pas de temps à consacrer à l'exercice physique et ne donnait pas un sou de son régime.

À 62 ans, cinq années après la retraite et travaillant contractuellement pour Nikkan Sports, il a payé de sa poche pour assister aux JO de Barcelone en 1992. Voyant une photo de lui-même, il fut choqué de voir combien il avait grossi. On lui diagnostiqua à son retour au Japon le diabète.

Grâce aux médicaments, un régime sain et des exercices physiques, sa condition s'améliora rapidement. Une marche en piscine quotidienne le fit redescendre de 74 à 57kg, son poids de lutteur universitaire.

Miyazawa a couru deux tours de 400 mètres l'année passée lors d'un événement organisé par l'équipe nationale de lutte féminine, et terminé bon dernier ; mais les 200 mètres demandés pour la flamme olympique restent largement dans ses cordes.

Un autre obstacle pourrait être son accréditation. Obtenir une carte de presse en 64 était simple et il put alors écrire sur ce qu'il souhaitait. Le CIO a aujourd'hui rendu le processus bien plus sélectif.

Un ami de Miyazawa lui a proposé autre chose : "Après la double couverture des JO de Tokyo, pourquoi ne pas aller à Paris en 2024 et marquer les 100 ans de la victoire de la médaille de Naito ?"

"Mon docteur m'a donné 10 ans," a répliqué Miyazawa. "Je compte y être."

#WrestleAstana

Les finales de la première journée des Championnats d'Asie sont prêtes

By Ken Marantz & Vinay Siwach

ASTANA, Kazakhstan (9 avril) -- Les championnats d'Asie sont en cours à Astana. La lutte gréco-romaine débutera les championnats continentaux avec cinq catégories de poids. les finales du tournoi se déroulent le même jour.

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Les finales sont établies. Comme toujours, la gréco-romaine a donné lieu à des combats époustouflants. Voici les paires

55kg - RUPIN (IND) contre Poya DAD MARZ (IRI)
63kg - Iman Hossein Khoon MOHAMMADI (IRI) contre Shermukhammad SHARIBJANOV (UZB)

77kg - Akzhol MAKHMUDOV (KGZ) contre Amin KAVIYANINEJAD (IRI)
87kg - Naser Ghasem ALIZADEH (IRI) contre Nursultan TURSYNOV (KAZ)
130kg - Amin MIRZAZADEH (IRI) contre Lingzhe MENG (CHN) 

14:26 : Dans le dernier match de demi-finale, Alikhan SYZDYKOV (KAZ) a manqué d'énergie et a perdu sa chance de défendre son titre après avoir perdu avec trois avertissements contre le médaillé de bronze de l'Open de Zagreb, Lingzhe MENG (CHN). Syzydkov menait 3-0 dans la deuxième période lorsqu'il n'a plus eu l'énergie de résister à Meng, qui aurait gagné de toute façon par chute technique puisque le score était de 11-3 après que Syzdykov ait reçu son troisième avertissement pour fuite pendant un stepout.

14:25 : Amin MIRZAZADEH (IRI) avec un par terre pour arriver à un gut wrench et il remporte sa demi-finale en 130kg contre Temurbek NASIMOV (UZB) 9-0.

14:15 : Nursultan TURSYNOV (KAZ) a enthousiasmé son public. Il envoie A. AZISBEKOV (KGZ) à deux gros projetés et remporte sa demi-finale des 87kg 11-0. Il affrontera Naser ALIZADEH (IRI) pour l'or.

14:12 : L'avance de 7 points que Naser ALIZADEH (IRI) a construit dans la première période lui a fourni plus que le coussin dont il avait besoin lorsqu'il a abandonné un takedown dans la deuxième période à Sunil KUMAR (IND), et la victoire 7-2 lui donne la chance de remporter un deuxième titre consécutif en 87kg. Kumar aura une chance de remporter une deuxième médaille de bronze d'affilée.

14:04 : Le champion du monde Akzhol MAKHMUDOV (KGZ) a été trop fort pour Kodai SAKURABA (JPN), qui a réussi une chute technique  9-1 en 2:41 pour lui donner une chance d'un troisième titre asiatique senior. Sakuraba luttera pour une deuxième médaille de bronze consécutive. 

14:01 : Demeu ZHADRAYEV (KAZ) menait 1-0 à la pause après la position par terre forcée avant qu'Amin KAVIYANINEJAD (IRI) prenne l'avantage 1-1 pour son par terre. Il a réussi à rouler Zhadrayev et mène 3-1. Kaviyaninejad a été appelé pour passivité mais n'a pas cédé de points. Il gagne 3-1 pour atteindre la finale.

13:58 : Shermukhammad SHARIBJANOV (UZB), champion d'Asie U23, aura une chance de remporter le titre senior après avoir remporté une victoire spectaculaire par tombé sur Mukhamedali MAMURBEK (KAZ) dans l'autre demi-finale des 63 kg. Mamurbek avait pris une avance de 5-2 avant que Sharibjanov ne revienne à la charge.

13:52 : Pas de surprise, Iman Hossein Khoon MOHAMMADI (IRI) roule Jinseub SONG (KOR) pour une victoirea 9-0. Il a utilisé son gut wrench du par terre pour atteindre la finale en 63kg.

13:43 : Dans un replay de la finale des Ranking Series de l'Open de Zagreb en février, Poya DAD MARZ (IRI) a battu Ikhtiyor BOTIROV (UZ) 8-1 pour se qualifier en finale des 55kg, assurant qu'il améliorera sa médaille de bronze de 2021. 

13:40 : RUPIN (IND) en finale des 55kg. Il obtient un gut wrench du par terre et ensuite défend sa position par terre pour battre Haifeng ZHANG (CHN) 3-1 en demi-finale.

Les demi-finales sont fixées. Voici l'ordre :

Tapis B
55kg - RUPIN (IND) contre Haifeng ZHANG (CHN)
63kg - Iman Hossein Khoon MOHAMMADI (IRI) contre Jinseub SONG (KOR)
77kg - Demeu ZHADRAYEV (KAZ) contre Amin KAVIYANINEJAD (IRI)
87kg - A. AZISBEKOV (KGZ) contre Nursultan TURSYNOV (KAZ)
130kg - Amin MIRZAZADEH ((IRI) contre Temurbek NASIMOV (KAZ)

Tapis C
55kg - Ikhtiyor BOTIROV (UZB) contre Poya DAD MARZ (IRI)
63kg - Shermukhammad SHARIBJANOV (UZB) contre Mukhamedali MAMURBEK (KAZ)
77kg - Akzhol MAKHMUDOV (KGZ) contre Kodai SAKURABA (JPN)
87kg - Naser ALIZADEH (IRI) contre Sunil KUMAR (IND) 
130kg - Alimkhan SYZDYKOV (KAZ) contre Lingzhe MENG (CHN)

13:20 : Le champion d'Asie 2020 Sunil KUMAR (IND) est en demi-finale. Il affrontera le champion en titre Naser ALIZADEH (IRI) en 87kg sur le tapis C

13:13 : L'Iran a réalisé un cinq sur cinq en ayant ses lutteurs en demi-finales, Amin KAVIYANINEJAD (IRI) l'a réduit le plus possible en 77kg. Kaviyaninejad, le champion d'Asie 2020 en 72kg, a arraché une victoire 1-1 sur Rui LIU (CHN) en résistant depuis le fond du par terre dans la dernière minute.  

13:02 : Le médaillé d'argent mondial Amin MIRZAZADEH (IRI) est en demi-finale en130 kg après avoir écarté Roman KIM (KGZ) par chute technique. Mirzazadeh cherche à compléter le titre asiatique senior qu'il a remporté en 2020. 

12:56 : Le champion du monde U23 Poya DAD MARZ (IRI) a fait preuve d'une grande maîtrise technique en battant Taiga ONISHI (JPN) par 8-0, ce qui lui permet de se qualifier pour les demi-finales de la catégorie des 55 kg.

12:51: Nursultan TURSYNOV (KAZ), à la recherche de sa première médaille asiatique depuis 2015, a montré comment l'expérience compte dans ce sport lorsqu'il a surmonté un déficit de 0-5 et est revenu pour une victoire 11-5 sur le médaillé d'argent de 2022 Jalgasbay BERDIMURATOV (UZB) en quarts de finale chez les 87kg. Turynov a complété sa victoire par une paire de gut-wrenches12:48: Hyeonwoo KIM (KOR) avec un étonnant head pinch pour projeter Kodai SAKURABA (JPN) dans la première mi-temps. Mais ils ont déclaré qu'il s'agissait d'une faute. Un défi de Kim. Les vidéos montrent qu'il a commis une faute de jambe. Kim effectue une grosse projection, mais les deux lutteurs en sont à deux points chacun. Sakuraba marque un autre mouvement et c'est 7-5 pour lui. Kim s'incline.

12:38: Le Champion du monde Akzhol MAKHMUDOV (KGZ) débute la défense de son titre en 77kg avec style par un tombé technique 9-0 sur Jeyhun OVEZDURDYYEV (TKM) pour se qualifier en demi-finale. 

12:41: Un autre champion en titre, Naser ALIZADEH (IRI) en 87kg, a surmonté le défi d'un Masato SUMI (JPN) plein d'audace pour se qualifier pour les demi-finales avec une victoire 1-1. Aucun des deux lutteurs n'a pu marquer de par terre, et Alizadeh a obtenu la victoire sur critères du dernier point.

12:32: Le champion en titre des 130 kg, Alimkhan SYZDYKOV (KAZ), s'est frayé un chemin jusqu'à la chute technique contre Aybegshazada KURRAYEV (TKM) pour se qualifier pour les demi-finales.

12:26: En 130 kg, le médaillé de bronze U20 Temurbek NASIMOV (UZB) s'est défait d'une tentative de takedown et s'est accroché pour remporter une victoire 5-3 sur NAVEEN (IND) et se qualifier pour les demi-finales.

12:12: Le médaillé de bronze U20 Taiga ONISHI (JPN), qui cherchait à conserver le titre des 55 kg entre les mains des Japonais pour la troisième année consécutive après les médailles d'or consécutives de Yu SHIOTANI (JPN), s'est imposé 5-0 face à Mostafa ALQADE (JOR). Le champion du monde U23, Poya DAD MARZ (IRI), est le prochain adversaire. 

12:05: Masato SUMI (JPN) commence par une victoire importante. Il se qualifie pour les quarts de finale en battant 11-0 Shyhazberdi OVELEKOV (TKM).

12:01: Kodai SAKURABA (JPN), médaillé de bronze en 2022, réussit à faire  une chute technique sur Lai Hsing YAO (TPE) en 77kg. Cela lui permet d'affronter en quart de finale le quintuple champion Hyeonwoo KIM (KOR), âgé de 34 ans..

11:58: Le vétéran Demeu ZHADRAYEV (KAZ), à la recherche de sa cinquième médaille asiatique senior en carrière, prend un bon départ avec une chute technique sur Amro SADEH (JOR) en 77kg. 

11:48: NEERAJ (IND), médaillé de bronze en 2022, passe son tour de qualification en 63kg en s'imposant 7-6 face à Dastan KADYROV (KGZ) pour se qualifier pour les quarts de finale.

11:40: Nous ne nous attendions pas à un tel départ ! RUPIN (IND) revient de 7-0 pour gagner 16-7 contre Sardarbek KONUSHBAEV (KGZ), Rupin exposant les faiblesses du conditionnement de Konushbaev.

11:30: Bienvenue à Astana pour le début des Championnats d'Asie. Nous entamons les six jours d'action avec cinq catégories de poids en gréco-romaine : 55 kg, 63 kg, 77 kg, 87 kg, 130 kg. Trois champions en titre sont en action aujourd'hui : Akzhol MAKHMUDOV (KGZ) en 77 kg, Naser ALIZADEH (IRI) en 87 kg et Alimkhan SYZDYKOV (KAZ) en 130 kg. Makhmudov est également champion du monde en titre.