Rulon Gardner

La Chaîne Olympique sort la bande-annonce de "Rulon Gardner Won't Die"

By United World Wrestling Press

La Chaîne Olympique lance la bande-annonce de son prochain documentaire sur le lutteur et champion olympique des JO de Sidney de l'année 2000 Rulon GARDNER (USA). La sortie du film "Rulon Gardner Won't Die" - Rulon Gardner ne mourra pas, est programmée pour mercredi 3 juin prochain.

Voici le communiqué de presse de la Chaîne Olympique accompagnant la bande-annonce :

MADRID – le 13 mai 2020  Lors des JO de Sidney de l'année 2000, l'athlète de lutte gréco-romaine Rulon Gardner atteignait la gloire en vainquant le lutteur le plus dominant du circuit mondial, le trois fois champion olympique et tenant du titre Aleksandr Karelin venu de Russie. Mais ce qui vint après le ‘miracle sur le tapis’ était encore moins prévisible. L'histoire incroyable de Gardner est racontée dans le prochain long métrage documentaire de la Chaîne Olympique Rulon Gardner Won’t Die, dont la sortie mondiale est prévue le mercredi 3 juin prochain sur olympicchannel.com et sur ses apps pour portables et appareils TV connectés.

Rulon Gardner Won’t Die, une partie de la série Five Rings Films,  décrit l'histoire édifante de Rulon Gardner, le plus jeune des neuf enfants d'une famille rurale du Wyoming, qui il y a vingt ans de cela époustoufla le monde lors des JO de Sidney et devint instantanément une icône américaine. Cette gloire soudaine fut suivie de tragédie et d'adversité, dont des expériences de mort imminente,  une prise de poids écrasante et la faillite. Rulon est aujourd'hui de retour dans la lutte en tant que coach d'école secondaire et tente de donner un sens à son héritage - à la fois en tant qu'icône américaine et comme une mise en garde contre ce qui peut arriver après un miracle.

Selon Gardner, “le film offre un regard honnête sur mes réussites mais aussi sur les difficultés qui les avaient précédées et celles survenues après mon expérience olympique. J'espère que les gens qui le verront à la maison y trouveront leurs propres sources de motivation et de détermination - particulièrement lors de cette époque difficile et imprévisible que nous traversons en ce moment - et se rappelleront que lorsque l'on vous met au tapis, il est possible de se relever et de perévérer.”

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#WrestleOslo

Aisululu Tynybekova, première femme kirghize médaillée olympique, revient sur son parcours inspiré

By Eric Olanowski

OSLO, Norvège (le 18 novembre) --- Aisululu Tynybekova (KGZ) a parlé avec United World Wrestling de la défense couronnée de succès de son titre mondial des 62kg au championnat du monde 2021 d'Oslo, un mois après être devenue la première femme kirghize médaillée aux Jeux Olympiques.

Quelques instants après avoir vaincu Kayla MIRACLE (USA), médaillée mondiale d'argent 2019 des U23, en finale des 62kg par 7-0, la désormais double championne du monde a discuté avec United World Wrestling, revenant sur l'incroyable parcours qui l'a amenée à devenir l'une des figures les plus marquantes de la discipline.

Elle n'a pas eu, à Oslo, à combattre son ennemie jurée Yukako KAWAI (JPN), qui l'avait vaincue en finale des Jeux Olympiques de Tokyo et qui, comme l'ensemble des médaillés Japonais, ne s'est pas rendue à Tokyo.

Mais cela ne signifie pas que les choses furent faciles pour Tynybekova. Au premier tour, elle fut tout d'abord menée 4-0 par la double championne du monde des cadets Nonoka OZAKI (JPN), avant de remonter pour vaincre 6-4, et son quart de finale fut également laborieux.

"La finale d'aujourd'hui fut le combat le plus facile de tous ceux de cette compétition," a déclaré Tynybekova. "Le premier jour, les trois combats ont été tous très durs, et je peux dire que c'est de justesse que je les ai gagnés dans les dernières secondes. "J'avais lutté contre l'Américaine lors du tournoi international en Italie et je sais comment elle se bat. Avec mon coach nous avions compris sa technique et j'ai juste fait tout ce qu'il m'avait dit."

Finalement, gagner est tout ce qui compte pour cette femme devenue la première championne du monde de l'histoire de son pays, hommes et femmes confondus. A Tokyo, elle est également devenue l'une des deux premières femmes kirghizes médaillées aux Jeux Olympiques tous sports confondus.

"Dès que je suis sortie du tapis, mon coach m'a félicitée. Qu'il soit heureux est la chose la plus importante pour moi. Je crois que tous les kirghizes sont heureux aussi. Quant à être deux fois championne du monde, je peux dire que je me suis prouvée à moi-même que c'était possible. Bien sûr, ça me réjouit. Surtout après ma défaite aux Jeux Olympiques, j'ai pu bien me préparer et gagner. Cela veut dire beaucoup pour moi."