#WrestlePontevedra

Bozkurt rejoint la liste des poids lourds montants de la Turquie avec l'or des championnats du monde U23

By Vinay Siwach

PONTEVEDRA, Espagne (18 octobre) -- Comme si la catégorie de poids des superlourds de Turquie n'était pas assez remplie, Fatih BOZKURT (TUR) est le dernier nom à entrer dans la liste des successeurs du quintuple champion du monde Riza KAYAALP (TUR).

Bozkurt  remporté la médaille d'or des 130kg aux championnats du monde U23 World de manière dominante à in Pontevedra en Espagne, pour se rapprocher de la place dans l'équipe senior.

Outre Kayaalp, Osman YILDIRIM (TUR), Muhammet BAKIR (TUR), Cemal BAKIR (TUR) et maintenant Bozkurt sont les lutteurs qui tentent de prendre la place dans la catégorie des poids lourds.

Bozkurt, qui a terminé cinquième de la dernière édition des championnats du monde U23 à Belgrade, a surclassé ses adversaires 31-2 en cinq combats pour remporter l'or.

En finale, il a affronté le champion du monde U20 Mykhailo VYSHNYVETSKYI (UKR) et s'est imposé par supériorité technique, battant l'Ukrainien à volonté.

Il a ouvert le score avec un takedown lorsque Vyshnyvetskyi a tenté un headlock. Il a également obtenu la position de par terre. Quand il a marqué le deuxième takedown, il s'est assuré de tourner Vyshnyvetskyi et d'étendre son avance.

Désespérant de revenir en finale avec un seul point au tableau, Vyshnyvetskyi a tenté un bodylock throw mais a atterri sur le dos pour donner deux points supplémentaires à Bozkurt.

Vyshnyvetskyi avait utilisé le bodylock à la perfection lundi, mais c'est ce qui a causé sa perte un jour plus tard.

“La finale a été bonne", a déclaré Bozkurt. "Un peu facile.”

Bozkurt a également vengé sa défaite de la finale des Championnats d'Europe U23 qu'il a perdue contre Dariusz VITEK (HUN) 1-1. En demi-finale lundi, il a remporté une victoire 6-1 contre Vitek.

“Je m'attendais à une médaille ici et c'est un soulagement que j'ai pu remporter l'or", a-t-il déclaré. "Je suis très heureux de cette performance.”

S'il a pour objectif d'intégrer l'équipe senior dans les années à venir, Bozkurt est conscient qu'il s'agira d'une tâche difficile.

"La compétition dans l'équipe nationale turque est toujours difficile, surtout à 130 kg", a-t-il déclaré. "C'est bien et cela signifie que je dois être plus performant pour gagner".

Poya DAD MARZ (IRI)Poya DAD MARZ (IRI) a fait passer sa médaille d'argent de 2021 à la médaille d'or, mardi, aux Championnats du monde U23. (Photo: UWW / Kostadin Andonov)

Dans les quatre autres combats pour la médaille d'or en gréco-romaine mardi, l'Iran a réussi à en capturer deux, tandis que l'Arménie et la Hongrie s'en sont partagés une chacune.

Pour l'Iran, Poya DAD MARZ (IRI) s'est assuré de ne pas rentrer à la maison avec l'argent comme l'année dernière. Il a battu Nihad GULUZADE (AZE) 5-1 en 55kg pour remporter l'or.

Dans un combat très rythmé, Dad Marz a marqué le premier takedown. Il n'a pas baissé sa garde et a fait en sorte que Guluzade soit passif. Du par terre, il a obtenu un gut wrench pour mener 5-0 à la pause.

Dans la deuxième période, il a été appelé passif mais Guluzade n'a pas obtenu le tournant qui aurait pu l'aider à rester dans la course.

L'ancien champion du monde U20 a également participé aux championnats du monde seniors cette année, mais a terminé huitième. Il était soulagé d'avoir réussi à terminer la saison en beauté.

Iman Khoon MOHAMMADI (IRI)Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) a battu Giorgi SHOTADZE (GEO) 8-0 en finale des 63kg. (Photo: UWW / Kostandin Andonov)

La deuxième médaille d'or pour l'Iran a été remportée par Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) en 63kg. Il a battu Giorgi SHOTADZE (GEO) par supériorité technique en finale.

Shotadze n'a jamais été en mesure d'égaler la lutte très rythmée de Khoon Mohammadi. Il a été averti pour avoir été inactif à la fois dans la première et la deuxième période. Khoon Mohammadi a ensuite marqué en utilisant un stepout. Shotadze a été averti pour fuite.

Khoon Mohammadi a ensuite marqué un takedown avant que Shotadze ne fasse une projection désespérée mais tombe sur le dos, donnant à Khoon Mohammadi une victoire par supériorité technique.

Malkhas AMOYAN (ARM)Malkhas AMOYAN (ARM) a maintenant trois titres mondiaux - U20, U23 et senior. (Photo: UWW / Kadir Caliskan)

Dans une finale de 77 kg très attendue, le champion du monde senior Malkhas AMOYAN (ARM) a humilié Alexandrin GUTU (MDA) pour remporter son premier titre mondial U23.

Poursuivant sa série de médailles dans tous les tournois qu'il a disputés depuis la Coupe du monde individuelle en 2020, Amoyan a capturé la plus haute médaille pour compléter le jeu de l'or mondial U20, U23 et senior.

Amoyan, qui a remporté la médaille d'or en 72 kg lors des Championnats du monde d'Oslo, poursuit également sa transition en douceur vers les 77 kg, un poids dans lequel il a remporté le bronze lors des récents Championnats du monde seniors.

On s'attendait à ce que son adversaire, Gutu, 20 ans, soit plus fort pour la médaille d'or, ce qu'il a fait au début du combat, mais Amoyan l'a constamment surpris.

Le premier avantage par terre est allé à Amoyan. Gutu, cependant, a réussi à s'échapper de la position avant qu'Amoyan ne le rattrape à mi-chemin et l'expose avec un gut wrench haut. Gutu a marqué un stepout pour réduire l'avance à 3-1 à la pause.

Au début de la deuxième période, Gutu a été une fois de plus pris dans sa propre attaque quand Amoyan a mis une de ses mains autour de la taille de Gutu et après une petite lutte, l'a amené au tapis pour un takedown. Il a également retourné Gutu pour deux autres points.

Au final, Gutu, qui avait terminé 17e aux Mondiaux U23 de 2021, a dû se contenter d'une médaille d'argent alors que sa quête du premier titre mondial depuis celui des U17 en 2018 se poursuit.

Istvan TAKACS (HUN)Istvan TAKACS (HUN) a remporté une victoire 7-4 sur Gevorg TADEVOSYAN (ARM) dans la finale des 87kg. (Photo: UWW / Kadir Caliskan)

Une autre étoile montante a remporté l'or mardi. Istvan TAKACS (HUN) a ajouté une médaille d'or mondiale U23 à son CV déjà impressionnant qui compte des médailles d'or mondiales et continentales U20. Takacs a également remporté les championnats d'Europe U23 cette année.

Dans le combat pour la médaille d'or des 87 kg, il a affronté Gevorg TADEVOSYAN (ARM), un finaliste surprise.

Tadevosyan a construit une avance de 4-0 avec un appel de passivité, un tour et un stepout. Mais juste avant la pause, Takacs a marqué un gros throw pour quatre points pour mener sur critères.

Au cours de la deuxième période, Takacs a ajouté trois points supplémentaires à son score pour remporter la médaille d'or sans réel problème à la fin.

Après que les médailles aient été décidées dans cinq catégories de poids, l'Iran mène la course au titre par équipe en gréco-romaine avec l'Arménie en deuxième position et la Turquie en troisième position.

Les combats pour la médaille d'or dans les cinq catégories de poids restantes ont également été décidés mardi, huit pays différents ayant obtenu un finaliste. L'Azerbaïdjan et la Croatie ont été les seuls pays à avoir deux finalistes chacun.

La lutte féminine débutera mercredi aux Championnats du monde U23 avec les lutteuses de 50 kg, 55 kg, 59 kg, 68 kg et 76 kg qui monteront sur le tapis.

La championne olympique et mondiale Yui SUSAKI (JPN) sera l'une des lutteuses en action mercredi alors qu'elle entame sa quête pour remporter l'or mondial U23 et réaliser le Grand Chelem de la lutte.

gj

RESULTATS

55kg
OR: Poya DAD MARZ (IRI) df. Nihad GULUZADE (AZE), 5-1

BRONZE: Ahmet TASKINOGLU (TUR) df. Denis MIHAI (ROU), 8-3
BRONZE: Giorgi TOKHADZE (GEO) df. Ken MATSUI (JPN), 8-0

63kg
OR: Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) df. Giorgi SHOTADZE (GEO), 8-0

BRONZE: Ryuto IKEDA (JPN) df. Ziya BABASHOV (AZE), 1-1
BRONZE: Hrachya POGHOSYAN (ARM) df. Maksym LIU (UKR), 3-1

77kg
OR: Malkhas AMOYAN (ARM) df. Alexandrin GUTU (MDA), 7-2

BRONZE: Sajan BHANWALA (IND) df. Dmytro VASETSKYI (UKR), 10-10
BRONZE: Nao KUSAKA (JPN) df. Mohammad Reza MOKHTARI (IRI), 3-1

87kg
OR: Istvan TAKACS (HUN) df. Gevorg TADEVOSYAN (ARM), 7-2

BRONZE: Szymon SZYMONOWICZ (POL) df. Beka MELELASHVILI (GEO), 4-1
BRONZE: Marcel STERKENBURG (NED) df. Maksat SAILAU (KAZ), 9-1

130kg
OR: Fatih BOZKURT (TUR) df. Mykhailo VYSHNYVETSKYI (UKR), 9-1

BRONZE: Dariusz VITEK (HUN) df. Nikolaos NTOUNIAS (GRE), 12-2
BRONZE: Aliakbar YOUSOFI (IRI) df. Sarkhan MAMMADOV (AZE), 9-1

Demi-finales

60kg
OR: Nihat MAMMADLI (AZE) vs. Kerem KAMAL (TUR)

DF 1: Nihat MAMMADLI (AZE) df. Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ), 3-1
DF 2: Kerem KAMAL (TUR) df. Irakli DZIMISTARISHVILI (GEO), 4-4

67kg
OR: Seyed SOHRABI (IRI) vs. Gagik SNJOYAN (FRA)

DF 1: Seyed SOHRABI (IRI) df. Diego CHKHIKVADZE (GEO), 6-3
DF 2: Gagik SNJOYAN (FRA) df. Kyotaro SOGABE (JPN), 9-1

72kg
OR: Pavel PUKLAVEC (CRO) vs. Gurban GURBANOV (AZE)

DF 1: Pavel PUKLAVEC (CRO) df. VIKAS (IND), 9-0
DF 2: Gurban GURBANOV (AZE) df. Irfan MIRZOIEV (UKR), 7-1

82kg
OR: Exauce MUKUBU (NOR) vs. Karlo KODRIC (CRO)

DF 1: Exauce MUKUBU (NOR) df. Mats AHLGREN (SWE), 11-0
DF 2: Karlo KODRIC (CRO) df. Beka GURULI (GEO), 6-5

97kg
OR: Markus RAGGINGER (AUT) vs. Alex SZOKE (HUN)

DF 1: Markus RAGGINGER (AUT) df. Giorgi KATSANASHVILI (GEO), 4-1
DF 2: Alex SZOKE (HUN) df. Igor ALVES (BRA), 3-0

Women's Day

Journée de la femme : 10 moments qui ont marqué la lutte féminine

By Taylor GREGORIO

CROSIER-SUR-VEVEY, Suisse (8 Mars) -- Tout au long de l'histoire de la lutte, des efforts ont été faits pour rendre le sport plus inclusif. La lutte féminine est devenue la première priorité d'United world Wrestling.

Au fil des années, l'organisation a pris diverses mesures pour élever et améliorer le niveau de la lutte féminine dans le monde. Voici dix moments qui ont changé la lutte féminine.

1987 – Premiers championnats du monde de lutte féminine

tandis que la Gréco-Romaine et la libre ont une longue histoire de championnats du monde, les femmes ont eu leur première chance de remporter des titres mondiaux en 1987 quand les premiers championnats du monde féminins ont été organisés. Le tournoi inaugural a eu lieu à Lorenskog en Norvège avec neuf catégories de poids.

Un total de 48 lutteuses ont participé à ces championnats du monde.

Les championnes de l'édition étaient Brigitte WEIGERT (BEL) en 44kg, Anne HOLTEN (NOR) en 47kg, Anne HALVORSEN (NOR) en 50kg, Sylvie VAN GUCHT (FRA) en 53kg, Isabelle DOURTHE (FRA) en 57kg, Ine BARLIE (NOR) en 65kg, Georgette JEAN (FRA) en 70kg et Patricia ROSSIGNOL (FRA) en 75 kg.

1989 – Premiers championnats du monde combinés

Deux ans après ses débuts mondiaux, la lutte féminine a partagé la scène avec les deux autres styles. Des championnats du monde combinés ont été organisés à Martigny en Suisse.

Outre la participation de lutteurs de la plupart des pays européens, des lutteurs du Japon, de Chine, de Chine Taipei, du Vénézuéla , et de USA  ont également participé à cette compétition. 

53 lutteuse ont pris part à cette compétition dont les championnes Shoko YOSHIMURA (JPN) et Ming-Hsiu CHEN (TPE).

Depuis lors, les championnats du monde de lutte féminine ont été organisés chaque année, sauf en 2004, année des Jeux olympiques d'Athènes.

2004 – La lutte féminine fait ses débuts olympiques à Athènes

Avec l'élan donné à ce sport, la lutte féminine a été présentée sur la plus grande scène du monde lors des Jeux olympiques d'Athènes en 2004. Avec quatre catégories de poids, 11 pays différents étaient représentés aux Jeux et sept d'entre eux ont remporté des médailles, dont des médailles d'or pour le Japon, l'Ukraine et la Chine.

2013 - Passage de quatre à six catégories de poids aux Jeux Olympiques

En 2013, la lutte a reçu la nouvelle dévastatrice qu'elle risquait d'être retirée du programme olympique. L'UWW a réagi rapidement en apportant les changements nécessaires au sport, notamment l'égalité des sexes et l'augmentation des poids des femmes de quatre à six. Cela a finalement contribué à assurer la place de la lutte en tant que sport olympique de base.

Ce changement a été mis en œuvre lors des Jeux de Rio en 2016, où la gréco-romaine, le style libre et la féminine avaient chacun six catégories de poids. Auparavant, la gréco-romaine et le style libre comptaient chacun six catégories de poids, tandis que les femmes en comptaient quatre.  

2015 – Yoshida remporte son 13ème titre mondial

Lors des Championnats du monde 2015 à Las Vegas, aux États-Unis, Saori YOSHIDA (JPN) a établi une barre qui n'a pas encore été franchie. Elle a remporté son 13e titre mondial consécutif, de 2002 à 2015, dont 11 en 55 kg et les deux derniers en 53 kg.

Lors des championnats du monde, Yoshida était invaincue. En plus d'un nombre exceptionnel de titres mondiaux, Yoshida a également remporté trois médailles d'or olympiques en quatre tentatives.

2016 -- Icho à remporter quatre médailles d'or olympiques

Aux Jeux olympiques de Rio 2016, Kaori ICHO (JPN) a acquis un statut légendaire en devenant la première athlète féminine à remporter quatre médailles d'or olympiques. Pour cette victoire historique, Icho a battu Valeriia KOBLOVA (RWF), 3-2, dans la finale des 58 kg.

La première médaille d'or olympique d'Icho a été remportée contre Sara MC MANN (USA) en 63kg aux Jeux Olympiques de 2004. Après avoir remporté son deuxième titre olympique aux Jeux de Pékin 2008 contre Alena KATACHOVA (RUS) en 63 kg, Icho a envisagé de prendre sa retraite mais a continué à participer à deux autres Jeux olympiques, dont une victoire en 2012 contre Rui Xue JING (CHN), toujours en 63 kg. Au total, Icho est resté invaincue au niveau international de 2003 à 2016, avec un forfait en 2007.

2016 -- Amri devient la première africaine à remporter une médaille olympique

Les Jeux olympiques de Rio ont été marqués par un autre moment important lorsque Marwa AMRI (TUN) est devenue la première lutteuse africaine à remporter une médaille olympique. Elle a remporté la médaille de bronze dans la catégorie des 58 kg.

Dans le combat pour la médaille de bronze, Amri a battu Yuliya Ratkevich (AZE), 6-3, après avoir exécuté un tir à quatre points à 10 secondes de la fin du combat.

Un an plus tard, Amri est devenu la première Africaine à atteindre la finale des Championnats du monde 2017 à Paris. Le même jour, Odunayo ADEKUOROYE (NGR) a réalisé le même exploit en atteignant la finale des 55kg.

2018 - Les Jeux olympiques de la jeunesse atteignent la parité hommes-femmes

Dans un effort pour devenir plus équitable, la lutte a augmenté le nombre de participantes à Buenos Aires à 50, contre 32 à Singapour 2010 et Nanjing 2014.  Avec ce nombre, le nombre de participantes à la lutte féminine était égal à celui de la lutte libre et de la lutte gréco-romaine. 

Cet ajustement s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par le Comité International Olympique pour atteindre son objectif de faire des Jeux olympiques de la jeunesse de 2018 les premiers Jeux de l'égalité entre les hommes et les femmes

2021 -- Mensah Stock devient la première femme noire à remporter l'or olympique

Après un titre mondial en 2019, Tamyra MENSAH STOCK (USA) était la favorite pour remporter la couronne en 68kg aux Jeux Olympiques de Tokyo. Comme prévu, elle a atteint la finale à Tokyo contre Blessing OBORUDUDU (NGR).

Le match revêtait une grande importance car c'était la première finale olympique dans l'histoire de la lutte à présenter deux femmes noires et garantissait que pour la première fois, une femme noire monterait sur la plus haute marche du podium olympique. Finalement, c'est Mensah Stock qui a remporté la victoire 4-1, un titre olympique et un moment historique pour le sport.

CWGPour la première fois dans l'histoire de la lutte, les Jeux du Commonwealth 2022 ont été arbitrés par une majorité de femmes. Les 16 femmes arbitres qui ont participé à Birmingham se sont affichées pour une photo après la compétition. (Photo: Helena Curtis)

2022 -- Les Jeux du Commonwealth deviennent le premier tournoi majeur à être arbitré par une majorité de femmes

Dans le cadre d'une initiative visant à atteindre la parité hommes-femmes, UWW a lancé un programme pour aider à éduquer, former et élever plus de femmes arbitres dans le sport. Dans le cadre de son plan stratégique, UWW, en collaboration avec la Fédération des Jeux du Commonwealth, a convenu d'inclure une majorité de femmes parmi les officiels lors des Jeux du Commonwealth de 2022 à Birmingham en Angleterre.  

Sur les 21 arbitres affectés à l'événement, 15 étaient des femmes, soit une représentation féminine de 70 %. En outre, l'un des postes de délégué des arbitres et d'autres postes officiels étaient occupés par des femmes.