Japon

Confinée pour l'instant, Susaki ne quitte pas des yeux sa quête relancée vers l'or olympique

By Ken Marantz

TOKYO -- Après avoir vu son rêve olympique brisé, puis soudainement ranimé par une surprise du destin complètement indépendante de sa volonté, Yui SUSAKI (JPN) sait qu’elle doit profiter de toutes les opportunités que la vie met sur son chemin.

Et s’il est nécessaire qu’elle attende une année de plus pour atteindre son objectif aux Jeux Olympiques de Tokyo, alors à toute chose malheur est bon sur la route de l’or olympique. 

"C’est la première fois que je suis éloignée de la lutte aussi longtemps," a répondu Susaki à notre interview par mail. "Je veux vraiment lutter à nouveau le plus vite possible. Mais même dans cette situation, le côté positif est que je peux utiliser ce temps pour faire de l’entraînement visuel en regardant des vidéos, et mettre sur pied un régime d’entraînement pour là où je suis la plus faible."

Où Susaki, qui aura 21 ans le 30 juin prochain, a une faiblesse, ou si elle en a vraiment, reste une question qui peut faire l’objet d’un débat, mais la deux fois championne du monde senior de lutte féminine en 50kg ne veut plus de faux pas le long de sa quête. Comme la majorité du monde sportif, Susaki s’est entraînée à la maison le mois dernier, se préparant pour le jour où il sera possible de remonter sur les tapis.

Il est possible que le Centre national d’entraînement rouvre lors de la suspension de l’état d’urgence décrété par le gouvernement japonais, mais au moment d’écrire ces lignes aucune date précise n’a été donnée. Susaki ne peut pas non plus s’entraîner à l’université de Waseda où elle étudie et qui reste fermée depuis le mois de mars. 

Forcée comme elle l’est de se maintenir en forme à son domicile de la préfecture de Chiba à l’est de Tokyo, Susaki déclare faire deux séances d’entraînement d’à peu près une heure par jour. Elle court de trois à cinq kilomètres ou soulève des poids dans le parc d’à côté ou à la maison.

Elle a la possibilité d’effectuer des entraînements spécifiques à la lutte. Sa sœur aînée Mai la rejoint pour travailler les amenés au sol. Comme leur père Yasuhiro, Mai a lutté à Waseda, et a même terminé troisième de l’Open Klippan Lady. "Les weekends où ma soeur ne travaille pas, nous nous entraînons ensemble à des exercices d’amenés au sol," précise Susaki.

Ces réunions familiales sont un agréable bonus, vu les effets sociétaux de la crise qui siginifie absence de contact avec amis ou coéquipiers. Susaki n’avait jamais passé autant de temps avec sa famille depuis qu’elle avait quitté le domicile familial en deuxième année de lycée pour rejoindre l’Académie d’élite du Comité olympique japonais.

"Passer autant de temps avec toute ma famille est très rafraîchissant et j’en suis vraiment heureuse," dit Susaki. "Ce temps est si précieux. Il sont impatients de me voir lutter sur une grande scène comme celle des JO ou des mondiaux et m’apportent tout le soutien possible. Cela me touche beaucoup, d’autant plus que nous passons beaucoup de temps ensemble. Ma détermination [à réussir] est aussi pour ma famille."

Yui SUSAKI (JPN) ouvre chaque combat par sa marque de fabrique, faisant basse figure. (Photo : Kadir Caliskan)

Entre ses sessions d’entraînement, Susaki participe aux cours en ligne de son université, dans la faculté de Sciences Sportives, dont le panel de professeurs inclut le deux fois médaillé olympique de lutte libre Akira OTA (JPN). Il est significatif que Susaki ait choisi de suivre le chemin familial et de s’engager à Waseda au lieu de rejoindre l’université de Shigakkan University, qui fait effet de locomotive de la lutte au Japon. 

De Shigakkan, auparavant connue sous le nom d’université Chukyo pour femmes, sont sorties toutes les lutteuses japonaises olympiennes depuis que la lutte féminine a été ajoutée au programme olympique à Athènes en 2004, dont des sommités comme Saori YOSHIDA (JPN) et Kaori ICHO (JPN), et les stars actuelles Risako KAWAI (JPN) et Sara DOSHO (JPN), qui défendront à Tokyo les titres olympiques qu’elles ont remportés à Rio en 2016. 

Sous le postulat que les JO de Tokyo se dérouleront comme reprogrammés l’été 2021, le monopole de Shigakkan se terminera alors, puisque la médaillée mondiale d’argent des 76kg Hiroe MINAGAWA (JPN), qui avait concouru en universitaire à l’université de Ritsumeikan, a déjà assuré sa place dans l’équipe japonaise.

Pour que Susaki la rejoigne, elle doit tout d’abord s’assurer une place au tournoi de qualification olympique Asie, prévu à Xi'an en Chine en mars 2021. Lorsqu’elle avait remporté le titre des 50kg du championnat du Japon en décembre dernier et donc acquis le droit de participer au qualificatif, elle avait deux mois pour se préparer. Ni elle ni personne d’autre ne s’imaginait que le qualificatif serait tout d’abord déplacé hors de Chine puis reporté et que cette durée s’allongerait à 15 mois.

"C’était très difficile de me préparer pour la compétition sans savoir si [la compétition] aurait lieu ou non," dit Susaki. "Quand elle a été reportée d’une année, j’ai pensé au côté positif, car cela me donne une autre année pour devenir plus forte. A partir de maintenant, je deviendrai plus forte."


Yui SUSAKI (JPN) célèbre sa victoire sur sa rivale Yuki IRIE (JPN). (Photo : Sachiko Hotaka)

Une chance de 0,01%
Dire que Susaki montera sur les tapis de Xi'an sans subir de blessure ou d’autres circonstances malheureuses, relève de l’imprévisibilité du sport. 

Le rêve olympique de Susaki avait semblé se briser lorsque son ennemie jurée Yuki IRIE (JPN) l’avait vaincue en éliminatoire pour une place dans l’équipe japonaise du championnat du monde de Noursoultan en septembre dernier. L’importance de cet événement était énorme, car une médaille dans la capitale du Kazakhstan aurait assuré sa place à Irie aux JO de Tokyo, la seule lutteuse au monde qui a su vaincre Susaki depuis l’école primaire. 

Mais Irie a ensuite subit une déchirante défaite par 13-12 en quart de finale, des mains de la médaillée olympique de bronze (Rio 2016) SUN Yanan (CHN). Puis, encore plus marquant pour Susaki et ses fans autour du monde, Sun fut renversée par la futur championne du monde Mariya STADNIK (AZE) en demi-finale – déniant ainsi Irie toute chance de repêchage et de médaille de bronze.

Susaki a continué à s’entraîner, prenant à cœur les mots de son coach Shoko YOSHIMURA que "s’il y a encore une chance de 0,01%, tu dois continuer à te battre."

"Je m’entraînais à ce moment, et je n’ai pas vu le combat entre Sun Yanan et Irie en direct," commente Susaki. "J’ai vu celui entre Sun Yanan et Mariya Stadnik."

Ceci avait entrouvert la porte des JO, mais pour la pousser complètement, il fallait passer le cap du qualificatif Asie. Et pour ça, il lui fallait battre Irie – et la médaillée d’or de Rio Eri TOSAKA (JPN), de plus – ce qu’elle accomplit avec une victoire sur le fil du rasoir par 2-1 en finale de la Coupe de l’Empereur.

 "Je suis allée au combat contre Irie à la Coupe de l’Empereur en me considérant comme la 'challenger'," dit Susaki, ajoutant qu’elle se répétait constamment : "C’est ta dernière chance. Prends-la une fois pour toutes et va aux Jeux Olympiques."

"Quand j’ai perdu en éliminatoire, j’étais perdue et n’avait plus confiance en moi. Mais en utilisant ce temps à bon escient, j’ai pu lutter sûre de moi à la Coupe de l’Empereur, pour tous les gens qui croyaient en moi et me soutenaient et pour moi aussi."


Yui SUSAKI (JPN) explose de joie avec son coach après son deuxième titre mondial senior consécutif. (Photo : Gabor Martin)

Le succès vient souvent tôt
Ses aspirations olympiques avaient commencé à la tenailler peu après que Susaki a commencé à lutter en première année d’école primaire à l’école locale de Matsudo Junior. En troisième année, elle remportait son premier titre cadet et commençait à rêver d’imiter Yoshida en remportant une médaille olympique.

L’année suivante, en 2009, elle fut vaincue en quatrième année et finale des 26kg par la future championne du monde junior Saki IGARASHI (JPN) -- Susaki ne perdrait plus ensuite jusqu’en 2015 – mais revint pour s’emparer de la couronne nationale en cinquième et sixième années.

La réusite continua de l’accompagner au lycée, où elle remportait les deux titres majeurs nationaux chacune des trois années suivantes sans concéder aucune défaite. Elle imprima aussi sa marque sur la scène mondiale, remportant le titre cadet de l’Open Klippan Lady trois années d’affilée, et le premier de trois titres mondiaux cadets consécutifs.

En seconde année de lycée, elle fut recrutée pour rejoinder l’Académie d’élite du CJO avec Yoshimura, un quintuple champion du monde qui la parraine encore aujourd’hui. 

A la question de savoir ce qui distingue Susaki des autres meilleures lutteuses, Yoshimura répond : "La capacité et la force physique nécessaires pour atteindre un objectif ne peuvent pas être acquises sans en avoir la volonté. Comme elle a une volonté forte et de l’énergie, elle peut aumenter sa quantité de pratique, d’effort et d’entraînement. Elle établit une méthodologie pour appliquer différentes choses à la lutte."

Passant en première année d’école secondaire, Susaki, après sa victoire aux mondiaux cadets en 2015, atteint la finale de la Coupe de l’Empereur. C’est là qu’elle subit la première des trois défaites de sa carrière sous les coups d’Irie, qui l’emporte 10-0 par supériorité technique, mettant fin à une magnifique série ininterrompue de 83 victoires depuis la première année de lycée de Susaki – sans compter l’école primaire. Elle revenait cependant l’année suivante pour remporter la Coupe de l’Empereur.

En 2017, elle passa directement de championne du monde des cadets à championne du monde des seniors, remportant l’or de Paris en 48kg, ce qui en fit la première écolière à remporter un titre mondial depuis celui d’Icho en 2002. Cette année, 2017, débuta et se termina de manières très différentes, puisqu’elle remportait le Grand Prix Yarygin pour ses débuts en senior, mais perdait face à Irie en demi-finale de la Coupe de l’empereur, mettant fin à une série de 63 victoires.

Entrant à Waseda en avril 2018, elle bat à son tour Irie au championnat du Japon sur invitation, puis encore une fois en éliminatoire pour rejoindre le championnat du monde de Budapest où elle maîtrisait Stadnik en finale des 50kg pour le second titre mondial d’affilée de sa carrière - un peu plus d’un mois après un titre mondial junior.

Yui SUSAKI (JPN) sourit après une victoire à la Coupe du monde de lutte féminine 2019. (Photo : Sachiko Hotaka)

Les joies de la lutte
Dans la vidéo de la déroute de Stadnik, le présentateur américain fait ce commentaire au sujet de Susaki : "Elle adore totalement la lutte. Quand vous la voyez lutter, elle sourit, elle a du plaisir, elle s’amuse, elle est décontractée"

A la question de savoir si ceci était exact, Susaki confirme. 

"Oui, c’est exact," dit-elle. "Vraiment, j’adore lutter et ai toujours du plaisir en combat. C’est réjouissant pour moi lorsque j’utilise le maximum de mes capacités pour remporter une médaille d’or au championnat du monde ou que je vaincs une adversaire puissante."

"Je suis nerveuse avant un combat, mais je sais l’effort que j’ai fait pour préparer ce combat, et combien je me suis entraînée dur dans l’objectif de gagner. Je vais au combat dans l’esprit que ’Je sais que je suis ok. Maintenant, aie du plaisir, c’est tout.'"

Cette féroce détermination de Susaki et sa personnalité pétillante lui ont gagné l’affection des fans au Japon et à l’étranger. La chance lui étant donnée de s’adresser à eux dans cet article, Susaki voulait leur offrir sa reconnaissance pour leur soutien et les encourager à persévérer dans leurs efforts pour surmonter la pandémie de covid-19.

"Je suis très heureuse de tous mes fans autour du monde et reconnaissante du fond de mon cœur," dit-elle. "Ils m’encouragent quand je perds, et partagent leur joie quand je gagne. Grâce à eux tous, j’ai pu faire de mon mieux." 


"Aujourd’hui, le coronavirus a provoqué une grave crise mondiale. Tous ensemble, nous pouvons nous en sortir et tourner nos yeux vers le jour où nous pourrons lutter à nouveau et suivre des combats. Je vais faire tout mon possible pour progresser et offrir à nouveau un beau spectacle sur la scène mondiale.

WrestleTallinn

Susaki et Okuno mènent les inscriptions au championnat du monde juniors

By Eric Olanowski

TALLINN, Estonie (le 7 août) -- Le championnat du monde juniors 2019 ouvre ses rideaux lundi 12 août à Tallinn en Estonie. Les deux championnes du monde senior en titre, Yui SUSAKI (JPN) et Haruna OKUNO (JPN), mènent une liste d'inscription de presque 700 lutteurs venant de 62 pays.

C'est la première fois qu'Okuno se rendra aux mondiaux juniors, tandis que Susaki y sera en quête de son septième titre mondial depuis 2014. Sept champions du monde juniors remettront leur titre en jeu lors de cette édition : quatre lutteuses médaillées d'or à Trnava l'année passée, et trois champions de lutte libre qui chercheront à renouveler leurs exploits. Enfin, le Turc Kerem KAMAL est le seul champion en titre de lutte gréco-romaine qui se rendra en Estonie.

Sept détenteurs du titre de champion du monde cadets se retrouveront également à Tallinn, pour la première fois en niveau junior.

Bien qu'elles ne soient officielles que 24 heures avant la compétition, voici les inscriptions aux championnat du monde juniors 2019 telles qu'elles se présentent pour l'instant : 

(les champions du monde juniors sont en caractères gras)

Lutte libre

57kg 
Vrezh GEVORGYAN (ARM)
Mahir MAMMADZADA (AZE)
Dzmitry SHAMELA (BLR)
Mehmed Hasan MEHMED (BUL)
Brayden Alexander TODD (CAN)
Weiyu LI (CHN)
Robert Tyson T LIKIAKSA (FSM)
Diamantino IUNA FAFE (GBS)
Giorgi GEGELASHVILI (GEO)
Horst Justin Junior LEHR (GER)
Ioannis MARTIDIS (GRE)
Gamzatgadzhi KHALIDOV (HUN)
Vijay Bajirao PATIL (IND)
Amir Aliakbar PARASTEH (IRI)
Tommaso FREZZA (ITA)
Toshiya ABE (JPN)
Adlan ASKAROV (KAZ)
Nurdoolot SHAILOOBEK UULU (KGZ)
Hyeonsu CHO (KOR)
Nicu CATAVEICA (MDA)
Akhmed IDRISOV (RUS)
Nino LEUTERT (SUI)
Ahmet DUMAN (TUR)
Kamil KERYMOV (UKR)
Vitali ARUJAU (USA)
Sardor RUZIMOV (UZB)

61kg
Mohamed Al Amine LAKEL (ALG)
Hrachya MARGARYAN (ARM)
Asgar MAMMADALIYEV (AZE)
Dzmitry PRYHOZHY (BLR)
Alibeg ALIBEGOV (BRN)
Jiayun HE (CHN)
Godefroid Kalombo KALUBI (COD)
David KOPRIVA (CZE)
Goderdzi DZEBISASHVILI (GEO)
Nico MEGERLE (GER)
Esteban David PEREZ CASTELLANOS (GUA)
Ravinder RAVINDER (IND)
Mahdi Saeed SHIRAZI (IRI)
Kaiki YAMAGUCHI (JPN)
Daulet TAZHIBAY (KAZ)
Tynchtyk ABASBEKOV (KGZ)
Sangboum HAN (KOR)
Leomid COLESNIC (MDA)
Tugsjargal ERDENEBAT (MGL)
David MISHEV (MKD)
Alik KHADARTSEV (RUS)
Muhammed Mustafa KELES (TUR)
Andrii DZHELEP (UKR)
Gabriel Robert TAGG (USA)
Firuz YOKUBOV (UZB)

Turan BAYRAMOV (AZE), champion du monde cadet en 2018, mène la catégorie des 65kg. (Photo : Gabor Martin)

65kg
Vazgen TEVANYAN (ARM)
Turan BAYRAMOV (AZE)
Dzianis SALAVEI (BLR)
Dimitar Atanasov ANGELOV (BUL)
Daniel Troy COLES (CAN)
Chao ZHENG (CHN)
Jordan Ngalula KABONGO (COD)
Fathi Tarek Fathi Attia ISMAIL (EGY)
Marwane Ahmed YEZZA (FRA)
Amiran VAKHTANGASHVILI (GEO)
Panagiotis IOAKEIMIDIS (GRE)
Sunny SUNNY (IND)
Amirhossein Azim MAGHSOUDI (IRI)
Kanta TOKURIKI (JPN)
Syrbaz TALGAT (KAZ)
Adilet ZHAPARKULOV (KGZ)
Injong HWANG  (KOR)
Nicolai GRAHMEZ (MDA)
Tengis DARKHANBAYAR (MGL)
Fati VEJSELI (MKD)
Karol Jakub CZEGUS (POL)
Stefan Ionut COMAN (ROU)
Kurban SHIRAEV (RUS)
Ahmet Salim YIGIT (TUR)
Denys BOROHAN (UKR)
Yahya Abdullah THOMAS (USA)
Bobur ISLOMOV (UZB)

70kg
Abdelkader IKKAL(ALG)
Arman ANDREASYAN (ARM)
Ashraf ASHIROV (AZE)
Aliaksandr KURYSHTA (BLR)
Jun ZHAO (CHN)
Kenfield K MIKE (FSM)
Otari BAGAURI (GEO)
Vishal KALIRAMANA(IND)
Mohmmadsadegh Biglar FIROUZPOURBANDPEI (IRI)
Raul ZARBALIEV (ISR)
Ryo YONEZAWA (JPN)
Sanzhar DOSZHANOV (KAZ)
Alinur TAKIROV (KGZ)
Sangho HAN (KOR)
Pjotrs GOLUBEVS (LAT)
Vasile DIACON (MDA)
Byambadorj ENKHBAYAR (MGL)
Szymon WOJTKOWSKI (POL)
Alan KUDZOEV (RUS)
Mohamed SESAY (SLE)
Tobias PORTMANN (SUI)
Omer Faruk CAYIR (TUR)
Erik ARUSHANIAN (UKR)
Brayton Edward LEE (USA)

Khadzhimurad GADZHIYEV (AZE), champion du monde en titre de lutte libre junior, remettra son titre en jeu en 74kg. (Photo : Max Rose-Fyne) 

74kg
Ishak BOUKHORS (ALG)
Davit GEVORGYAN (ARM)
Simon MARCHL (AUT)
Khadzhimurad GADZHIYEV (AZE)
Davud ALIZALAU (BLR)
Tu Erxun AHEIYOU (CHN)
Peter Nkisi MUNDONGA (COD)
Saifeldin Shokry Mohamed Mahmoud ELKOUMY (EGY)
Jako KIVIMAEGI (EST)
Keanson A SIGRAH (FSM)
Goga MAMIAURI (GEO)
Georgios KOUGIOUMTSIDIS (GRE)
Parveen MALIK (IND)
Mohammad Ashghar NOKHODILARIMI (IRI)
Jintaro MOTOYAMA (JPN)
Shynggys MUKHAMETKALIYEV (KAZ)
Baianas MAMASALI UULU (KGZ)
Jinwoo MOON (KOR)
Valentin BORZIN (MDA)
Bat-Erdene BYAMBASUREN (MGL)
Jakub Patryk WLADCZYK (POL)
Devid BETANOV (RUS)
Abdulvasi BALTA (TUR)
Yevhenii DUBOVYI (UKR)
David Aaron CARR (USA)

79kg
Fateh BENFERDJALLAH (ALG)
Arman AVAGYAN (ARM)
Abubakr ABAKAROV (AZE)
Oktay Ruzhdi HASAN (BUL)
Carson Barry LEE (CAN)
Tanggesi TANGGESI (CHN)
Tony Bahati AROKA (COD)
Erik REINBOK (EST)
Bagrati GAGNIDZE (GEO)
Joshua Philipp David MORODION (GER)
Milan MESTER (HUN)
Sandeep Singh MANN (IND)
Abdollah Shahriar SHEIKHAZAMI (IRI)
Max KASPEROVICH (ISR)
Salvatore DIANA (ITA)
Yudai TAKAHASHI (JPN)
Tilek KABYKENOV (KAZ)
Samatbek STANBEK UULU (KGZ)
Taegyu HWANG (KOR)
Cristian PRISACARI (MDA)
Cezary Marek SADOWSKI (POL)
Amkhad TASHUKHADZHIEV (RUS)
Foday KARGBO (SLE)
Omer Faruk KARADENIZ (TUR)
Valentyn BABII (UKR)
Aaron Marquel BROOKS (USA)


Deepak PUNIA (IND) tentera de faire mieux que sa médaille d'argent de la saison dernière. (Photo : Max Rose-Fyne)

86kg
Mher MARKOSYAN (ARM)
Benjamin GREIL (AUT)
Magomed ASIYATILOV (AZE)
Aliaksei PARKHOMENKA (BLR)
Hunter Jeffery LEE (CAN)
Teng ZHAO (CHN)
Stallone Wadiayako SIBU (COD)
Vojtech PISKOR (CZE)
Nikita TSEHHONIN (EST)
Miriani MAISURADZE (GEO)
Lars SCHAEFLE (GER)
Gino Tanislado AVILA DILBERT (HON)
Milan Andras KORCSOG (HUN)
Deepak PUNIA (IND)
Sajjad Saeid HABIBIEHSANI (IRI)
Shai Shabtai SHOTASHVILI (ISR)
Shutaro YAMADA (JPN)
Abylay SOVET (KAZ)
Jeongwoo PARK (KOR)
Ivars SAMUSONOKS (LAT)
Ivan NEDEALCO (MDA)
Bilguun BAYARSAIKHAN (MGL)
Alik SHEBZUKHOV (RUS)
Mohammad Sardar TIMORI (SWE)
Cagri Can BAYRAM (TUR)
Hlib HRYNCHENKO (UKR)
Trent Niemond HIDLAY (USA)
Mukhammadrasul RAKHIMOV (UZB)

92kg
Thomas John Mcglinchey BARNS (AUS)
Askhab HAMZATOV (AZE)
Yaraslau IADKOUSKI (BLR)
Bozhidar Mateev TODOROV (BUL)
Julien CHOQUETTE (CAN)
Tuerdahen AYITUOLIEKE (CHN)
Aron Isomi MBO (COD)
Matous VONDAL (CZE)
Giorgi CHANKSELIANI (GEO)
Ertugrul AGCA (GER)
Richard VEGH (HUN)
Viky VIKY (IND)
Ali Reza Abbasali ABDOLLAHI (IRI)
Takumi TANIZAKI (JPN)
Kuanysh ZHUMASH (KAZ)
Wonhwy CHOI (KOR)
Gheorghe ERHAN (MDA)
Batmagnai ENKHTUVSHIN (MGL)
Machiel Johannes GROBLER (RSA)
Alan BAGAEV (RUS)
Polat POLATCI (TUR)
Vasyl SOVA (UKR)
Lucas John DAVISON (USA)
Ajiniyaz SAPARNIYAZOV (UZB)

97kg
Temraz ISMAYILOV (AZE)
Yaraslau SLAVIKOUSKI (BLR)
Ikjyot Singh RANDHAWA (CAN)
Reheman RUSIDANMU (CHN)
Yonger Pauli BASTIDA POMARES (CUB)
Kevin AAS (EST)
Givi GOGOBERISHVILI (GEO)
Artur VEGH (HUN)
Akash ANTIL (IND)
Abbas Ali FOROUTANRAMI (IRI)
Takuma OTSU (JPN)
Nurken KOBEISINOV (KAZ)
Mingi CHOI (KOR)
Radu LEFTER (MDA)
Haroon ABID (PAK)
Aslanbek GAZZAEV (RUS)
Viliam OROSS (SVK)
Feyzullah AKTURK (TUR)
Danylo STASIUK (UKR)
Tanner Ryan SLOAN (USA)
Makhsud VEYSALOV (UZB)

125kg
Hovhannes MAGHAKYAN (ARM)
Islam Aslangereyvic ABUEV (AZE)
Jackson Jerome SERNA (CAN)
Buheeerdun BUHEEERDUN (CHN)
Ahmed Mahmoud Elsayed Mohamed KHALIL (EGY)
Vasil KHVISTANI (GEO)
Vishal VISHAL (IND)
Amir Hossein Abbas ZARE (IRI)
Lior ALTSHULER (ISR)
Akiho MOR I(JPN)
Bakdaulet OSSERBAY (KAZ)
Aftandil BOLOTBEK UULU (KGZ)
Ki Bum KIM (KOR)
Gan Erdene SODBILEG (MGL)
Alen KHUBULOV (RUS)
Pasa Ekrem KARABULUT (TUR)
Yurii IDZINSKYI (UKR)
Mason Mark PARRIS (USA)

Kerem KAMAL (TUR), favori des 60kg, est en quête de son troisième titre mondial. (Photo : Gabor Martin)

Lutte gréco-romaine

55kg
Tigran MINASYAN (ARM)
Zaur ALIYEV (AZE)
Hleb MAKARANKA (BLR)
Baoyinjiya BAOYINJIYA (CHN)
Antonio Jordan RUIZ MORA (ECU)
Ahmed Fouad Fouad Hussein BAGHDOUDA (EGY)
Pridon ABULADZE (GEO)
Vijay VIJAY (IND)
Poya Soulat DAD MARZ (IRI)
Ken MATSUI (JPN)
Nurzat KABDYRAKHIMOV (KAZ)
Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ)
Donghyeok WON (KOR)
Tuorki Ali M HAZOAZI (KSA)
Artium DELEANU (MDA)
Anvar ALLAKHIAROV (RUS)
Aslamdzhon AZIZOV (TJK)
Mukremin AKTAS (TUR)
Vladyslav KUZKO (UKR)
Dylan Allan RAGUSIN (USA)
Ikhtiyor BOTIROV (UZB)

60kg
Mourtada NAANAA (ALG)
Sahak HOVHANNISYAN (ARM)
Asgar ALIZADA (AZE)
Aliaksandr NIAHODA (BLR)
Alamusi ALAMUSI (CHN)
Moamen Ahmed Rabie MOHAMED (EGY)
Diego CHKHIKVADZE (GEO)
Sachin RANA (IND)
Milad Ali REZANEZHAD (IRI)
Abere FETENE (ISR)
Kazuki YABE (JPN)
Olzhas SULTAN (KAZ)
Talastan KANZHARBEK UULU (KGZ)
Gunwoo PARK (KOR)
Gytis KULEVICIUS (LTU)
Ion BACALU (MDA)
Georgii TIBILOV (RUS)
Rasul ISRAPILOV (SUI)
Niklas Jan Olov Pontus OEHLEN (SWE)
Azatjan ACHILOV (TKM)
Kerem KAMAL (TUR)
Myroslav SOLOVIAN (UKR)
Mason Alan CARZINO HARTSHORN (USA)
Mukhammadkodir YUSUPOV (UZB)

Shahin Eidi BADAGHI MOFRAD (IRI), finaliste cadet en 2018, représentera l'Iran en 63kg. (Photo : Sachiko Hotaka)

63kg
Abdelmalek MERABET (ALG)
Hrachya POGHOSYAN (ARM)
Zaur NURIYEV (AZE)
Aliaksandr PECHURENKA (BLR)
Nikalas Petrov SULEV (BUL)
Delin WANG (CHN)
Godefroid Kalombo KALUBI (COD)
Markos TADOLDER (EST)
Leri ABULADZE (GEO)
Cristian Estuardo MEJIA TEPEN (GUA)
Tibor Sandor GYUERKY (HUN)
Pravesh PRAVESH (IND)
Shahin Eidi BADAGHI MOFRAD (IRI)
Kyotaro SOGABE (JPN)
Assaukhat MUKHAMADIYEV (KAZ)
Marlen ASIKEEV (KGZ)
Sangjun PARK (KOR)
Vilius SAVICKAS (LTU)
Kamil Aleksander CZARNECKI (POL)
Abu Muslim Aptievitch AMAEV (RUS)
Abdullah TOPRAK (TUR)
Dmytro MIROSHNYK (UKR)
Alston Jon NUTTER (USA)
Javokhirbek SAMATOV (UZB)

67kg
Kevin KUPI (ALB)
Shant KHACHATRYAN (ARM)
Aker AL OBAIDI (AUT)
Adam HAJIZADA (AZE)
Eldar HASANAU (BLR)
Ivo Krasimirov ILIEV (BUL)
Xin HUANG (CHN)
Jordan Ngalula KABONGO (COD)
Denis MERTL (CZE)
Kristo VIIDAS (EST)
Elmer Joakim MATTILA (FIN)
Giorgi SHOTADZE (GEO)
Samuel BELLSCHEIDT (GER)
Krisztian Istvan VANCZA (HUN)
Saurabh SAURABH (IND)
Mohammad Reza Hojatollah MOKHTARI (IRI)
Ignazio SANFILIPPO (ITA)
Gakuyo TAGUCHI (JPN)
Alikhan KOKENOV (KAZ)
Jaewon LEE (KOR)
Ahmed Fawzi M BARAHMAH (KSA)
Mindaugas VENCKAITIS (LTU)
Valentin PETIC (MDA)
Haavard JOERGENSEN (NOR)
Aleksander Juliusz MIELEWCZYK (POL)
Sergei KUTUZOV (RUS)
Luka GUMILAR (SLO)
Aleksa ILIC (SRB)
Michael PORTMANN (SUI)
Yan-Kai CHEN (TPE)
Lamjed MAAFI (TUN)
Abdul Samet BASAR (TUR)
Vladyslav KRAVCHENKO (UKR)
Peyton Louis OMANIA (USA)
Umidjon AKHROROV (UZB)

Hassan Hassan Ahmed MOHAMED (EGY) a échoué en finale l'année dernière à obtenir un titre mondial junior. Il part favori pour atteindre la finale des 72kg. (Photo : Max Rose-Fyne) 

72kg
Samvel GRIGORYAN (ARM)
Ulvu GANIZADE (AZE)
Andrei SAMETS (BLR)
Guotao ZHANG (CHN)
Pavel PUKLAVEC (CRO)
Hassan Hassan Ahmed MOHAMED (EGY)
Randel UIBO (EST)
Akseli Elias YLI HANNUKSELA (FIN)
Otar ABULADZE (GEO)
Erik LOESER (GER)
Georgios Theodoros SOTIRIADIS (GRE)
Gergely BAK (HUN)
Rahul RAHUL (IND)
Mohammadreza Mahmoud ROSTAMI (IRI)
Radik RAKHMATULIN (ISR)
Kaichi SUGAWARA (JPN)
Galymbek NURGALI (KAZ)
Bekzat MATKABYLOV (KGZ)
Jangsu CHO (KOR)
Deividas SUBOTKEVIC (LTU)
Anatolie POPOV (MDA)
Mihai PETIC (MDA)
Konrad Lukasz KOZLOWSKI (POL)
Vasile Alexandru DOSOFTEI (ROU)
Sergei STEPANOV (RUS)
Mohamed SESAY (SLE)
Elmaz HASANOVIC (SRB)
Rasmus Lilleman AASTROEM (SWE)
Daler REZA ZADE (TJK)
Ismail GUN (TUR)
Ihor BYCHKOV (UKR)
Tyler Adam EISCHENS (USA)
Alijon KHUSEYNOV (UZB)

77kg
Vahe POGHOSYAN (ARM)
Nasir HASANOV (AZE)
Mikita KAZAKOU (BLR)
Teodor Chavdarov DOMOZINOV (BUL)
Bahetijiang KELAN (CHN)
Peter Nkisi MUNDONGA (COD)
Jan CYMOREK (CZE)
Ranet KALJOLA (EST)
Nika SHERBAKOVI (GEO)
Tamas LEVAI (HUN)
Sajan SAJAN (IND)
Mohammad Aziz NAGHOUSI (IRI)
David ZHYTOMYRSKY (ISR)
Amane SHIMOYAMADA (JPN)
Leonid PROSKUROVICH (KAZ)
Azamat ZHAMGYRCHY UULU (KGZ)
Hyeonjin KANG (KOR)
Arminas LYGNUGARIS (LTU)
Exauce MUKUBU (NOR)
Patryk Adam BEDNARZ (POL)
Damir RAKHIMOV (RUS)
Foday KARGBO (SLE)
Andrija Luka MALETIN (SRB)
Mats Ola Lukas AHLGREN (SWE)
Bing Hong LIN (TPE)
Abdurrahman KALKAN (TUR)
Dmytro VASETSKYI (UKR)
Jack Butch ERVIEN (USA)
Dilshod OMONGELDIYEV (UZB)

82kg
Fadi ROUABAH (ALG)
Karen KHACHATRYAN (ARM)
Maksim BANDARENKA (BLR)
Zahari Rosenov ZASHEV (BUL)
Fabian Patricio CASTILLO PAVEZ (CHI)
Talimubieke AYIDINGBIEKE (CHN)
Tony Bahati AROKA (COD)
Karlo KODRIC (CRO)
Hans Uku LEITHAM (EST)
Otto Eemeli KETONEN (FIN)
Beka GURULI (GEO)
Lucas Alexandros LAZOGIANIS (GER)
Ilias PAGKALIDIS (GRE)
Istvan TAKACS (HUN)
Sanjeet SANJEET (IND)
Hosein Jahanbakhsh FOROUZANDEH GHOJEHBEIGLOU (IRI)
Satoki MUKAI (JPN)
Stanislav RYLSKIY (KAZ)
Jihyeok SONG (KOR)
Szymon SZYMONOWICZ (POL)
Nicolae POPA (ROU)
Aues GONIBOV (RUS)
Klemen PODGORELEC (SLO)
Toyly ORAZOV (TKM)
Dogan KAYA (TUR)
Vitalii ANDRIIOVYCH (UKR)
Zachary Kyle BRAUNAGEL (USA)

Ilia ERMOLENKO (RUS), médaillé mondial de bronze en 2018, est le seul médaillé mondial attendu en 87kg. (Photo : Gabor Martin)

87kg
Hakob BAGHDASARYAN (ARM)
Lachin VALIYEV (AZE)
Ihar YARASHEVICH (BLR)
Mariyan Iliyanov MARINOV (BUL)
Han LEI (CHN)
Stallone Wadiayako SIBU (COD)
Filip SMETKO (CRO)
Andreas VAELIS (EST)
Juho Matias PAHIKAINEN (FIN)
Giorgi KATSANASHVILI (GEO)
Nikolaos PAPADOPOULOS (GER)
David LOSONCZI (HUN)
Kumar SUNIL (IND)
Hasan Jahanbakhsh FOROUZANDEH GHOJEHBEIGLOU (IRI)
Ryohta NASUKAWA (JPN)
Meirbek KORDABAY (KAZ)
Meder ABYKEEV (KGZ)
Temirlan SHERALI UULU (KGZ)
Hyeonsu KANG (KOR)
Piotr CHUDZIK (POL)
Ilia ERMOLENKO (RUS)
Christian Max ZEMP (SUI)
Jacob Edward LOGAARD (SWE)
Dovran DOVLETGELDIYEV (TKM)
Bedirhan TAN (TUR)
Valentyn SHKLIARENKO (UKR)
Cameron Andrew CAFFEY (USA)

97kg
Markus RAGGINGER (AUT)
Khayal MEHTIYEV (AZE)
Uladzislau PUSTASHYLAU (BLR)
Houzhi HAO (CHN)
Aron Isomi MBO (COD)
Gabriel Alejandro ROSILLO KINDELAN (CUB)
Richard KARELSON (EST)
Lasha TVILDIANI (GEO)
Patrick NEUMAIER (GER)
Apostolos Panagiotis TSIOVOLOS (GRE)
Alex Gergo SZOKE (HUN)
Deepanshu DEEPANSHU (IND)
Abolfazl Naser SEYEDMAHDAVI (IRI)
Yuri NAKAZATO (JPN)
Islam UMAYEV (KAZ)
Jeongyul KWON (KOR)
Ibrahim Mohammed M FALLATAH (KSA)
Arnoldas BARANOVAS (LTU)
Gerard Cyprian KURNICZAK (POL)
Karen TATEVOSOV (RUS)
Beytullah KAYISDAG (TUR)
Oleksandr YEVDOKIMOV (UKR)
Nicholas Allen BOYKIN (USA)
Ismail ASANOV (UZB)

130kg
Sarkhan MAMMADOV (AZE)
Mikita KAVALSKI (BLR)
Diego Jesus ALMENDRAS RODRIGUEZ (CHI)
Lu ZHANG (CHN)
Marcel ALBINI (CZE)
Youssef Ahmed Hamdy Aly ISSA (EGY)
Uku LAIK (EST)
Robinzon ESADZE (GEO)
Nikolaos NTOUNIAS (GRE)
Dariusz Attila VITEK (HUN)
Aawesh AAWESH (IND)
Aliakbar Hossein YOUSOFIAHMADCHALI (IRI)
Shoma SUZUKI (JPN)
Konstantin RAKHIMOV( KAZ)
Minjoon KIM (KOR)
Nikola MILATOVIC (NOR)
Tomasz Jacek WAWRZYNCZYK (POL)
Ciprian Ilie TRUFAN (ROU)
Marat KAMPAROV (RUS)
Muhammet Hamza BAKIR (TUR)
Vladyslav KOVALENKO (UKR)
Cohlton Michael SCHULTZ (USA)
Ilyosbek GULOMJONOV (UZB)

Yui SUSAKI (JPN) est en quête de son septième titre mondial depuis 2014, catégorie 50kg. (Photo : Max Rose-Fyne) 

Lutte féminine 

50kg
Shahana NAZAROVA (AZE)
Natallia VARAKINA (BLR)
Alexia Adeline Devalmont SEAL (CAN)
Yuhong ZHONG (CHN)
Lucia Yamileth YEPEZ GUZMAN (ECU)
Hala Wael Imbabi AHMED (EGY)
Polina SAHNO (EST)
Taru Marketta VAINIONPAEAE (FIN)
Lisa ERSEL (GER)
Neelam NEELAM (IND)
Emanuela LIUZZI (ITA)
Yui SUSAKI (JPN)
Ayaulym TUGANBAYEVA (KAZ)
Jinhee KIM (KOR)
Maria LEORDA (MDA)
Otgontuya CHINBOLD (MGL)
Amanda TOMCZYK (POL)
Stefania Claudia PRICEPUTU (ROU)
Daria KHVOSTOVA (RUS)
Meng Hsuan HSIEH (TPE)
Sarra HAMDI (TUN)
Zehra DEMIRHAN (TUR)
Mariia VYNNYK (UKR)
Alleida MARTINEZ (USA)
Jasmina IMMAEVA (UZB)

53kg
Yuliya ZHAUNERYK (BLR)
Mariela Zhelyazkova ZHELYAZKOVA (BUL)
Meiduolaji MEIDUOLAJI (CHN)
Pooja POOJA (IND)
Haruna OKUNO (JPN)
Assylzat SAGYMBAY (KAZ)
Yeji MIN (KOR)
Anudari NANDINTSETSEG (MGL)
Andreea Beatrice ANA (ROU)
Mariia TIUMEREKOVA (RUS)
Angelica Mingyue ZETTERVALL (SWE)
Rahime ARI (TUR)
Liliia MALANCHUK (UKR)
Gracie Marie FIGUEROA (USA)
Shokhida AKHMEDOVA (UZB)

Saki IGARASHI (JPN) est l'une des deux lutteuses japonaises comptant garder leur titre de championne du monde junior. (Photo : Gabor Martin) 

55kg
Darya SINKAVETS (BLR)
Sezen Behchetova BELBEROVA (BUL)
Virginie KAZE GASCON (CAN)
Antonia Alejandra VALDEZ ARRIAGADA (CHI)
Silangwangmu SILANGWANGMU (CHN)
Anastasia BLAYVAS (GER)
Anna Hella SZEL (HUN)
Anju ANJU (IND)
Saki IGARASHI (JPN)
Sandugash DYUSSENGALIYEVA (KAZ)
Eunyoung PARK (KOR)
Mariana DRAGUTAN (MDA)
Enkhtsetseg BATBAATAR (MGL)
Patrycja GIL (POL)
Ekaterina VERBINA (RUS)
Ya Ling PENG (TPE)
Elvira KAMALOGLU (TUR)
Veronika RYABOVOLOVA (UKR)
Alexandra Wray HEDRICK (USA)

57kg
Maryia HULIDA (BLR)
Ana Luiza PEREIRA FRANCA (BRA)
Tanya Dobromirova TENEVA (BUL)
Jolie Donna Elizabeth BRISCO (CAN)
Youmei WU (CHN)
Bharti BAGHEL (IND)
Akie HANAI (JPN)
Laura ALMAGANBETOVA (KAZ)
Nuraida ANARKULOVA (KGZ)
Magdalena Urszula GLODEK (POL)
Anastasiia SIDELNIKOVA (RUS)
Ozge FINDIKCI (TUR)
Alina AKOBIIA (UKR)
Cameron Jaylynn GUERIN (USA)

Anastasia NICHITA (MDA) poursuit un second titre mondial, catégorie 59kg. (Photo : Marion Stein)

59kg
Krystsina SAZYKINA (BLR)
Emma Janelle PARKER (CAN)
Zhuomalaga ZHUOMALAGA (CHN)
Maria Victoria BAEZ DILONE (ESP)
Anne Beatrice NUERNBERGER (GER)
Erika BOGNAR (HUN)
Anshu ANSHU (IND)
Morena DE VITA (ITA)
Sae NANJO (JPN)
Dariga ABEN (KAZ)
Nazira MARSBEK KYZY (KGZ)
Hwa Young SUNG (KOR)
Anastasia NICHITA (MDA)
Angelika Agnieszka MYTKOWSKA (POL)
Kristina MIKHNEVA (RUS)
Elmas CELIK (TUR)
Kateryna ZELENYKH (UKR)
Michaela Hope BECK (USA)

62kg
Zhala ALIYEVA (AZE)
Tatsiana PAULAVA (BLR)
Ana Paula GODINEZ GONZALEZ (CAN)
Yaru WU (CHN)
Tiia Triin TOMSON (EST)
Radhika RADHIKA (IND)
Yuzuka INAGAKI (JPN)
Irina KUZNETSOVA (KAZ)
Haeyeong IM (KOR)
Alina Aleksandra ANTIPOVA (LAT)
Irina RINGACI (MDA)
Purevsuren ULZIISAIKHAN (MGL)
Magdalena Weronika KISIELINSKA (POL)
Mariia LACHUGINA (RUS)
Cansu AKSOY (TUR)
Antonyna KULAHINA (UKR)
Alara Lea BOYD (USA)
Ariukhan JUMABAEVA (UZB)

65kg
Jeyla NAGHIZADE (AZE)
Hanna SADCHANKA (BLR)
Katie Nichole MULKAY (CAN)
Yue ZHANG (CHN)
Nerea PAMPIN BLANCO (ESP)
Viktoria VESSO (EST)
Noémi SZABADOS (HUN)
Tina TINA (IND)
Elena ESPOSITO (ITA)
Miwa MORIKAWA (JPN)
Diana KAYUMOVA (KAZ)
Chaewon LEE (KOR)
Wiktoria CHOLUJ (POL)
Amina Roxana CAPEZAN (ROU)
Daria BOBRULKO (RUS)
Hsin Ping PAI (TPE)
Yagmur CAKMAK (TUR)
Oksana CHUDYK (UKR)
Macey Ellen KILTY (USA)
Dinora RUSTAMOVA (UZB)

Khanum VELIEVA(RUS) aura une chance de remporter un troisième titre consécutif de championne du monde junior. Elle est inscrite en 68kg. (Photo : Max Rose-Fyne)

68kg
Natallia BELSKAYA (BLR)
Thamires MARTINS MACHADO (BRA)
Siyka Todorova IVANOVA (BUL)
Berit Ilise Musey JOHNSON (CAN)
Xin LI (CHN)
Marta PAJULA (EST)
Tuende Emese ELEKES (HUN)
Priyanka PRIYANKA (IND)
Naruha MATSUYUKI (JPN)
Gulsezim BUKHAYEVA (KAZ)
Meerim ZHUMANAZAROVA (KGZ)
Jisu KIM (KOR)
Delgermaa ENKHSAIKHAN (MGL)
Ewelina Weronika CIUNEK (POL)
Khanum VELIEVA (RUS)
Tindra Linnea SJOEBERG (SWE)
Kadriye AKSOY (TUR)
Khrystyna MALIAVKA (UKR)
Jayden Leigh LAURENT (USA)

72kg
Anastasiya ZIMIANKOVA (BLR)
Shuiyan CHENG (CHN)
Johanna MEIER (GER)
Anshu GUJJAR (IND)
Yuka KAGAMI (JPN)
Gulnaz ZHAPPAROVA (KAZ)
Dokyung (Hyerim) YUN (KOR)
Khulan TSERMAA (MGL)
Kamila Czeslawa KULWICKA (POL)
Maria larisa NITU (ROU)
Evgeniia ZAKHARCHENKO (RUS)
Zsuzsanna MOLNAR (SVK)
Merve PUL (TUR)
Anastasiya ALPYEYEVA (UKR)
Alyvia Nicole FISKE (USA)
Svetlana OKNAZAROVA (UZB)

76kg
Kseniya DZIBUK (BLR)
Dejah Aniela SLATER (CAN)
Qian JIANG (CHN)
Milaimys de la Caridad MARIN POTRILLE (CUB)
Lilly SCHNEIDER (GER)
Bernadett NAGY (HUN)
Karuna KARUNA (IND)
Eleni PJOLLAJ (ITA)
Yasuha MATSUYUKI (JPN)
Alexandra ZAITSEVA (KAZ)
Soeun KIM (KOR)
Raivita TIMOFEJEVA (LAT)
Kamile GAUCAITE (LTU)
Marina SUROVTSEVA (RUS)
Hui Tsz CHANG (TPE)
Mehtap GULTEKIN (TUR)
Romana VOVCHAK (UKR)
Korinahe Jacquia BULLOCK (USA)
Mukhlisa NORMUMINOVA (UZB)

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