#DanKolov2019

Dan Kolov, jour 1, demi-finales

By Eric Olanowski

RUSE, Bulgarie (le 28 février) - Le premier tour du Dan Kolov-Nikola Petrov vient de se terminer au Parc des Sports Monbat de Ruse en Bulgarie, et quatre demi-finales de lutte libre et de lutte féminine sont établies. Les demi-finales débutent à 17h heure locale. 

Lutte libre
61kg

Demi-finale - Joseph Daniel COLON (USA) vs. Nurislam (Artas) SANAYEV (SANAA) (KAZ) 
Demi-finale - Munir Recep AKTAS (TUR) vs. Sandeep TOMAR (IND) 

70kg 
Demi-finale - Anzor ZAKUEV (RUS) vs. Andriy KVYATKOVSKYY (UKR) 
Demi-finale - Ilias BEKBULATOV (RUS) vs. Viktor RASSADIN (RUS) 

79kg
Demi-finale - IAtsamaz SANAKOEV (RUS) vs. Omaraskhab NAZHMUDINOV (ROU) 
Demi-finale - INika KENTCHADZE (GEO) vs. Alexander David DIERINGER (USA) 

92kg
Demi-finale - Irakli MTSITURI (GEO) vs. Ibrahim BOLUKBASI (TUR) 
Demi-finale - Magomed KURBANOV (RUS) vs. Michael MACCHIAVELLO (USA) 

Lutte féminine 

55kg
Demi-finale - Maria PREVOLARAKI (GRE) vs. Roksana ZASINA (POL) 
Demi-finale - Marina SEDNEVA (KAZ) vs. Zalina SIDAKOVA (BLR) 

59kg
Tournoi nordique - Kornelija ZAICEVAITE (LTU) vs. Aisuluu TYNYBEKOVA (KGZ) 
Tournoi nordique - Pooja DHANDA (IND) vs. Sarita SARITA (IND) 

65kg
Demi-finale - Petra OLLI (FIN) vs. Sakshi MALIK (IND) 
Demi-finale - Henna JOHANSSON (SWE) vs. Maya NELSON (USA) 

72kg
Demi-finale - Zhamila BAKBERGENOVA (KAZ) vs. Buse TOSUN (TUR) 
Demi-finale - Chuchu YAN (CHN) vs. Alina BEREZHNA STADNIK MAKHYNIA (UKR) 

PROGRAMME

28 février (Jeudi) 
16:00 - Tirage - LL - 57, 65, 74; GR-87 ,97, 130; WW - 62 ,68 ,76kg
16:30 - Cérémonie d'ouverture
17:00 - Demi-finales FS - 61, 70, 79, 92kg; GR - 55, 63, 72, 82kg; WW - 55, 59, 65, 72kg

1 mars (Vendredi) 
08:00 - Examen médical et pesée 1 - LL - 57, 65, 74; GR (+ 2 kg) - 87, 97, 130; LF - 62, 68, 76kg
08:30 - Pesée 2 LL - 61,70,79, 92 kg; GR (+ 2 kg) - 55,63,72,82 kg; LF - 55,59,65, 72 kg Réunion des arbitres
10:00 - Éliminatoires LL - 57, 65, 74; GR - 87, 97, 130; LF - 62, 68, 76 kg
10:00 - Repêchages LL - 61, 70, 79, 92kg; GR - 55, 63, 72, 82kg; LF - 55, 59, 65, 72kg
16:30 - Tirage - LL - 86, 97, 125; GR - 60, 67, 77kg; LF - 50, 53, 57kg
17:00 - Demi-finales LL - 57, 65, 74; GR - 87, 97, 130; LF - 62, 68, 76kg
18:00 - Finales et remise des prix - LL - 61,70,79, 92kg; GR - 55, 63, 72, 82kg; LF - 55, 59, 65, 72kg

2 mars (Samedi) 
08:00 - Examen médical et pesée 1 - LL - 86, 97, 125; GR (+ 2 kg) - 60, 67, 77 kg; LF - 50, 53, 57kg 
08:30 - Pesée 2 - LL - 57, 65, 74; GR (+ 2 kg) - 87, 97, 130; LF - 62, 68, 76kg 
10:00 - Éliminatoires - LL - 86, 97, 125; GR - 60, 67, 77 kg; LF- 50, 53, 57kg
10:00 - Repêchages - LL - 57, 65, 74; GR - 87, 97, 130; LF - 62, 68, 76kg
17:00 - Demi-finales - LL 86, 97, 125kg;GR - 60, 67, 77 kg; LF - 50, 53, 57kg
18:00 - Finales et remises des prix - LL - 57, 65, 74; GR - 87, 97, 130; LF - 62, 68, 76kg

3 mars (Dimanche) 
8:00 - Pesée 2 - LL - 86, 97, 125; GR (+ 2 kg) - 60, 67, 77kg; LF - 50, 53, 57kg
Repêchages - LL - 86, 97, 125; GR (+ 2 kg) - 60, 67, 77 kg; LF - 50, 53, 57kg
Finales et remises des prix - LL - 86, 97, 125; GR - 60, 67, 77 kg; LF - 50, 53, 57kg

Lutte Féminine

Lutte féminine : épilogue d'un mémorable camp d'entraînement

By Tim Foley

TOKYO (le 2 avril) – United World Wrestling a mené à bien son plus grand camp jamais organisé d'entraînement de lutte féminine la semaine dernière à Tokyo, avec la participation de plus de 160 athlètes et entraîneurs.

“C'est un grand pas pour la lutte féminine,” a déclaré M. Nenad Lalovic, président de United World Wrestling. “Nous avons tout fait pour augmenter la participation aux évènements et attirer l'attention sur nos vaillantes représentantes. Le camp est un succès exceptionnel.”

Ce camp succède à celui de la Coupe du Monde 2018 de Lutte Féminine de Takasaki et était financé par United World Wrestling. Il n'aurait pas pu avoir lieu sans le partenariat essentiel de la Fédération Japonaise de Lutte, dont l'aide a été précieuse pour fournir logement, nourriture, transport et entraînement.

“Partout où nous pouvons nous réunir, je crois que nous allons prendre de l'ampleur et développer cette discipline,” a déclaré Erica WIEBE (CAN). La championne olympique 2016 était présente les cinq jours qu'a duré le camp. “La lutte, ça change la vie !”

Les athlètes ont pu découvrir de nouvelles techniques d'échauffement agrémentées de nouveaux exercices et ont passé de nombreuses heures à combattre. La camaraderie et l'enthousiasme ambiants étaient évidents, le bruit des rires s'entremêlant avec les mises en condition les plus dures.

Le camp offrait des entraînements dispensés par des coachs venus du Japon, de Chine, des Etats-Unis, de Biélorussie et d'ailleurs encore. Bien que la finalité en soit pour les athlètes, les entraîneurs ont déclaré que le camp avait été bénéfique pour leur propre développement, leur donnant de nouvelles idées pour animer l'intérêt de leurs lutteuses.

Le nouveau visage du personnel d'entraînement de la Chine, Simon ATANASSOV. L'entraîneur bulgare revient d'un séjour en Azerbaïjan (Photo: Max Rose Fyne)

Simon ATANASSOV, un visage familier pour les fans de la lutte autour du monde, a participé à son premier camp en tant que membre de l'équipe d'entraînement de Team China. Atanassov s'est récemment installé à Pékin après cinq ans passés en Azerbaïjan, où il était l'instructeur principal de lutte pour hommes et femmes.

“Je crois que tous les entraîneurs ont appris quelque chose de moi, et que j'ai appris d'eux. Le Japon et l'Amérique m'ont apporté beaucoup. Nous avons partagé nos expériences et sommes devenus de meilleurs entraîneurs. C'est formidable ! Il faut développer la lutte !”

Les participants ont aussi visité Tokyo sous l'égide de la Fédération Japonaise de Lutte. Les lutteuses ont pu voir le site de lutte prévu pour les Jeux de Tokyo en 2020, avant de se rendre sur des destinations touristiques populaires.

“Les lutteuses japonaise étaient si ouvertes avec nous,” a témoigné la triple championne du monde Adeline GRAY (USA). “Elles nous amènent vers des activités sur et en dehors du tapis, nous montrent ce qu'il faut et ce qu'il ne faut pas manger. Comment monter et descendre du train. Où faire du shopping... Nous avons beaucoup apprécié cet aspect social superposé à l'esprit de compétition.”

“Nous sommes toutes dehors et on s'amuse, mais on a toutes mal !,” a conclu Gray.