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Grevemberg quitte son poste de PDG des Jeux du Commonwealth

By United World Wrestling Press

David Grevemberg quitte son poste de PDG de la Fédération des Jeux du Commonwealth (CGF), a annoncé l'organisation.

D. Grevemberg occupe cette fonction depuis novembre 2014, après un passage aux commandes des Jeux du Commonwealth de Glasgow en 2014. Il quittera son poste le 5 mars prochain.

Il avait supervisé, en 2015, le développement et le lancement du plan stratégique de l'organisation intitulé 'Transformation 2022'.

D. Grevemberg a décrit comme 'un privilège' d'avoir pu travailler dans le mouvement sportif du Commonwealth pendant plus d'une décennie et a déclaré qu'il était fier du travail accompli lors de son mandat.

"Je suis immensément fier du travail que nous avons accompli et poursuivons dans notre stratégie 'Transformation 2022', qui s'est toujours traduit par d'ambitieux partenariats avec notre équipe, notre direction et notre réseau mondial de membres et d'athlètes du Commonwealth. 

“Grevemberg a eu un impact positif sur les Jeux du Commonwealth pendant son mandat. Il laisse la Fédération dans une position de succès pour de nombreuses années à venir. Je lui souhaite les meilleures choses possibles dans ses futurs entreprises,” a déclaré le Président d'United World Wrestling M. Lalovic.

David Grevemberg, ancien lutteur, fut le Directeur Exécutif du Comité Paralympique International avant de devenir le PDG de la Fédération des Jeux du Commonwealth.

Les exercices de confinement inspirés du lutteur Tony Collins, 67 ans

By Mark Pickering

Le Britannique Tony Collins, 67 ans, n'est pas un arrière-grand-père habituel. 

Vous avez plus de chances de le croiser dans un maillot qu'enfoncé dans ses pantoufles. 

“Quand j'ai gagné [mon dernier tournoi] en janvier, et que ma famille m'a demandé si j'étais content de prendre enfin ma retraite, je leur ai dit que j'étais trop jeune pour le faire,” dit Tony, habitant d'Huyton, une ville du Merseyside dans le nord de l'Angleterre. 

Tandis que la Grande-Bretagne continue son combat contre la pandémie de covid-19, le lutteur vétéran -- qui concourt à la fois en lutte libre et en lutte gréco-romaine -- a intensifié son entraînement à domicile. Ses exercices de lutte jouent un rôle central dans la conservation de sa santé et de sa forme.


“Je me suis entraîné très dur dans mon jardin avec des kettlebells, des pneus, des ballons médicinaux, des exercices de lutte solo et j'ai pu continuer à faire des courses dans le parc et des sprints sur la colline,” dit l'ancien monteur en échafaudages.

Membre du Club de lutte des Knowsley Tigers, Collins, qui a combattu et remporté divers titres en europe, en Asie et en Amérique et est reparti médaillé du championnat du monde des vétérans, ne s'est lancé dans la lutte qu'à 24 ans par hasard mais reconnaît que la lutte a fait de lui l'homme, le père, le grand-père et l'arrière-grand-père qu'il est aujourd'hui. 

“Un collègue m'a demandé d'aller au club de gym du coin et d'essayer la lutte. Je n'avais jamais couru ou joué au foot quand j'étais gosse. Je suis tombé sur l'histoire de l'ancien lutteur grec Milo de Croton, une ville aujourd'hui en Italie. Il était le plus grand lutteur du monde antique, vainqueur de tous les tournois de la Grèce. Il se promenait autours des des gymnases et regardait les jeunes lutteurs s'entraîner et je pense que moi aussi j'étais comme eux. Cette histoire est resté dans ma tête depuis lors.”

Le jardin de Collins a été transformé en terrain de lutte où il aiguise quotidiennement et consciencieusement son savoir-faire tandis que le reste du monde continue de se battre contre la pandémie.


“Mon objectif est encore de devenir champion du monde des vétérans. J'ai acheté ou emprunté du matériel à un club de CrossFit et j'ai reçu l'aide et le soutien de mes amis lutteurs des quatre coins du monde.

“Il y a beaucoup de manières possibles de créer des exercices de lutte à domicile ou en plein air, persévérer est mon attitude et mon message, c'est ce qui fait les champions.”
 


Tandis que ce grand voyageur porte naturellement son attention aux conditions toujours changeantes et aux restrictions mises en place par son gouvernement, ses 40 années de lutte lui ont appris à rester en sécurité, en bonne santé, sans jamais perdre de vue ses objectifs.

“Grâce à la lutte je suis devenu une personne différente. Je pense différemment, j'aborde les problèmes différemment en comparaison avec ce que les personnes de mon âge font habituellement. Dès que la permission aura été donnée de remonter sur les tapis, je frapperai à la porte de la salle de lutte.”