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Le Président Lalovic reçoit le Prix d'Etat de la Hongrie

By United World Wrestling Press

BUDAPEST, Hongrie (le 2 décembre) --- Hungary Today --- Mercredi dernier, M. Lalovic, Président d'United World Wrestling, s'est rendu en Hongrie pour y recevoir la Croix d'Officier de l'Ordre du Mérite de Hongrie - Division Civile, et signer un accord selon lequel la capitale hongroise accueillera des compétitions, des camps d'entraînement et des séminaires.

M. Nenad Lalovic, Président d'United World Wrestling (UWW), a reçu la Croix d'Officier de l'Ordre du Mérite de Hongrie - Division Civile, au nom du Président M. János Áder, en reconnaissance de ses efforts en faveur du développement de la lutte et pour la rendre populaire en Hongrie et dans le monde entier.

Lors de la cérémonie à l'Académie Hongroise de Lutte Kozma István (KIMBA), M. Lalovic, d'origine serbe, a également signé avec M. László Süle, le curateur de l'Académie, un accord de partenariat entre l'Académie et UWW pour le développement globale de la discipline. Selon cet accord, l'Académie accueillera plusieurs événements internationaux de lutte, des camps d'entraînement, des séminaires et d'autres types de programmes.

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Mercredi dernier, M. Lalovic, Président d'United World Wrestling, s'est rendu en Hongrie pour y recevoir la Croix d'Officier de l'Ordre du Mérite de Hongrie - Division Civile, à l'Académie Hongroise de Lutte Kozma István (KIMBA).

Dans son discours de remerciement, M. Lalovic a accepté le prix comme 'un grand honeur', précisant que bien qu'il s'agisse d'une reconnaissance des efforts réalisés ces dernières années, le nouvel accord entre UWW et l'Académie concernait le futur et que cet accord était le fruit d'efforts communs entre la Serbie et la Hongrie.

En photo, de gauche à droite, M. Lalovic et M. Szilárd Németh, Président de la Fédération Hongroise de Lutte et Vice-Président du Fidesz. Photo de Tamás Kovács/MTI

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#WrestleOslo

Aisululu Tynybekova, première femme kirghize médaillée olympique, revient sur son parcours inspiré

By Eric Olanowski

OSLO, Norvège (le 18 novembre) --- Aisululu Tynybekova (KGZ) a parlé avec United World Wrestling de la défense couronnée de succès de son titre mondial des 62kg au championnat du monde 2021 d'Oslo, un mois après être devenue la première femme kirghize médaillée aux Jeux Olympiques.

Quelques instants après avoir vaincu Kayla MIRACLE (USA), médaillée mondiale d'argent 2019 des U23, en finale des 62kg par 7-0, la désormais double championne du monde a discuté avec United World Wrestling, revenant sur l'incroyable parcours qui l'a amenée à devenir l'une des figures les plus marquantes de la discipline.

Elle n'a pas eu, à Oslo, à combattre son ennemie jurée Yukako KAWAI (JPN), qui l'avait vaincue en finale des Jeux Olympiques de Tokyo et qui, comme l'ensemble des médaillés Japonais, ne s'est pas rendue à Tokyo.

Mais cela ne signifie pas que les choses furent faciles pour Tynybekova. Au premier tour, elle fut tout d'abord menée 4-0 par la double championne du monde des cadets Nonoka OZAKI (JPN), avant de remonter pour vaincre 6-4, et son quart de finale fut également laborieux.

"La finale d'aujourd'hui fut le combat le plus facile de tous ceux de cette compétition," a déclaré Tynybekova. "Le premier jour, les trois combats ont été tous très durs, et je peux dire que c'est de justesse que je les ai gagnés dans les dernières secondes. "J'avais lutté contre l'Américaine lors du tournoi international en Italie et je sais comment elle se bat. Avec mon coach nous avions compris sa technique et j'ai juste fait tout ce qu'il m'avait dit."

Finalement, gagner est tout ce qui compte pour cette femme devenue la première championne du monde de l'histoire de son pays, hommes et femmes confondus. A Tokyo, elle est également devenue l'une des deux premières femmes kirghizes médaillées aux Jeux Olympiques tous sports confondus.

"Dès que je suis sortie du tapis, mon coach m'a félicitée. Qu'il soit heureux est la chose la plus importante pour moi. Je crois que tous les kirghizes sont heureux aussi. Quant à être deux fois championne du monde, je peux dire que je me suis prouvée à moi-même que c'était possible. Bien sûr, ça me réjouit. Surtout après ma défaite aux Jeux Olympiques, j'ai pu bien me préparer et gagner. Cela veut dire beaucoup pour moi."