Japan Wrestling

L'équipe japonaise de lutte libre réunie pour son premier camp national depuis six mois

By Ken Marantz

TOKYO -- A l'exception d'une courte période pendant laquelle son université était complètement fermée, l'ancien champion du monde Takuto OTOGURO a pu conserver son habituelle routine d'entraînement durant la pandémie.

Cependant, pouvoir enfin s'entraîner avec ses coéquipiers de l'équipe nationale japonaise le ramène à son plus haut niveau, attise les braises et l'espoir que le jour n'est pas si loin où le monde de la lutte remontera sur les tapis.

"Etre réuni ici avec l'équipe nationale me rend heureux à nouveau," dit Otoguro. "Je me sens motivé pour les Jeux Olympiques."

L'équipe nationale japonaise de lutte libre a commencé son premier camp d'entraînement en six mois le 1er octobre, au Centre national d'entraînement Ajinomoto, où 17 des meilleurs athlètes du pays se sont retrouvés pour 8 jours et sous de stricts protocoles sanitaires.

Les deux meilleurs lutteurs de chaque catégorie du championnat national de l'année passée étaient en principe invités -- quelques-uns étaient excusés pour cause d'engagements universitaires ou professionnels  -- , car le Japon a commencé sa préparation pour le championnat du monde provisoirement prévu pour le mois de décembre, le championnat d'Asie pour février et le tournoi de qualification olympique d'Asie pour mars. Savoir si ces compétitions pourront se dérouler reste du domaine de la spéculation.

Il était prévu que les lutteurs, qui s'étaient réunis pour la dernière fois en mars dernier, aient un autre camp d'entraînement vers la mi-juillet, à la suite des équipes de lutte féminine et gréco-romaine. Bien que les camps de celles-ci se soient déroulés comme prévu, la lutte libre fut laissée à elle-même lorsqu'une soudaine augmentation des cas de coronavirus à Tokyo provoqua l'annulation du camp par la Fédération japonaise.

Takuto OTOGURO aux prises avec le médaillé olympique et entraîneur de l'équipe nationale Shinichi YUMOTO (Photo par Sachiko Hotaka/JWF).

"Tellement de fois nous avons établi un programme et dû l'annuler," commente le coach principal de lutte libre Kenji INOUE. "Dans ces conditions, il n'y avait rien à faire."

Etablir le programme d'un camp national d'entraînement n'est pas chose simple. Les lutteurs sont éparpillés dans tout le pays et doivent être libérés par leur université ou l'équipe de leur club. La Fédération doit également obtenir le feu vert de la commission médicale.

"Même si nous [la fédération] voulons maintenir le programme, nous ne pouvons pas le faire sans le soutien ni la coopération de nombreuses autres personnes," dit Inoue. "Puis quand il nous faut annuler après toute la préparation, tout ce que nous pouvons faire est nous excuser. Cette fois, tout en étant reconnaissant de leur coopération, nous pouvons les récompenser en tenant un camp sans incident."

Rei HIGUCHI se mesure au médaillé d'or olympique et entraîneur de l'équipe nationale Tatsuhiro YONEMITSU (Photo par Sachiko Hotaka/JWF)

Suivre des  protocoles stricts

Comme pour les camps du mois de juillet, les lutteurs doivent respecter des règles strictes quant à leurs mouvements dans la 'bulle' du Centre national d'entraînement. Leur nombre est limité dans la salle de pesée par exemple. Dans le réfectoire, ils doivent s'asseoir en diagonale et non pas l'un en face de l'autre. Les contacts avec le monde extérieur sont réduits à une rapide course occasionnelle à la supérette locale.

Lors de leur entrée dans la salle de lutte, leur température est prise et ils se désinfectent non seulement les mains mais aussi les semelles de leurs chaussures. Chaque athlète a passé un test PCR et tous sont négatifs au coronavirus.

"Les équipes ont fait ce qu'elles pouvaient et chaque personne également," dit Inoue. "J'ignore si les autres pays font la même chose, mais nous ne sommes pas du tout anxieux."

Otoguro aura été, en quelque sorte, chanceux que la préfecture de Yamanashi, où il suit les cours de l'université Yamanashi Gakuin, ait été relativement épargnée par le gros de l'épidémie. Jusqu'au 3 octobre, la préfecture, située à l'est de Tokyo, n'a enregistré que 194 cas et six décès, à comparer aux 26'376 cas et 411 décès de la capitale. En tout, le Japon décompte environ 1'600 décès.

Takiuto et son frère aîné Keisuke sont, à ce jour, les seuls Japonais qui se sont assurés une place en lutte libre aux JO de Tokyo, reportés à 2021. Takuto, champion du monde en 2018, a décroché une place en 65kg en terminant 5ème des mondiaux 2019, tandis que Keisuke s'est sélectionné en 74kg en remportant les éliminatoires nationaux après être passé de 70 à 74kg.

La situation de Keisuke était quelque peu plus favorable lors de son arrivée au camp, car il est membre de l'équipe de l'Ecole de force d'auto-défense et d'entraînement physique, qui offre un haut niveau de compétition et fonctionne d'ordinaire dans sa propre bulle.

Pour s'inspirer, il ne lui est pas nécessaire de chercher plus loin que les entraîneurs de l'équipe, dont trois d'entre eux ont gagné des médailles olympiques. Non seulement cela mais Inoue (bronze, Athènes 2004), Tatsuhiro YONEMITSU (or, Londres 2012) et Shinichi YUMOTO (bronze, Londres 2012) font partie du personnel de l'équipe nationale.

"J'apprends de lutteurs munis de la grande expérience d'avoir gagné des médailles olympiques," dit Otoguro. "Je crois que ce peut être un grand avantage pour moi."

Son frère et Rei HIGUCHI, médaillé d'argent à Rio en 2016 en 57kg qui tentera d'obtenir une place pour Tokyo dans la même catégorie lors du prochain qualificatif Asie, ont tous deux eu l'occasion de voir de première main que leurs entraîneurs n'ont rien perdu depuis leur grande époque.

Takuto Otoguro avait l'avantage du poids face à Yumoto, qui luttait en 55kg dans sa jeunesse. Mias Higuchi s'est retrouvé dans la situation inverse avec Yonemitsu, qui donne l'impression qu'il reviendrait très vite à son meilleur niveau s'il décidait de reprendre la compétition.

"Il y a tellement de choses que je peux apprendre," a commenté Hi face au très musculaire Yonemitsu, dont la corpulence a augmenté depuis son triomphe aux JO de Londres en 66kg. "Naturellement, il y a une certaine différence de taille. Il me faut la dépasser.. Je suis une personne qui déteste perdre, ça a été dur à avaler. Mais je ne crois pas que la situation est sans espoir."

Il reste heureux d'être de retour dans l'équipe nationale, ce qui lui donne la chance de telles rencontres.

"Si je ne suis pas là, je perds l'occasion [de lutter] avec Yonemitsu ou Yumoto. C'est un plaisir, mais c'est aussi frustrant. Cette semaine, je ferai ce que je peux pour les battre."

Keisuke OTOGURO travaille un amené au sol (Photo par Sachiko Hotaka/JWF)

De difficiles décisions à prendre

Higuchi avait tout d'abord choisi de rejoindre l'équipe nationale en 65kg, mais n'a pas pu passer Otoguro. Il est alors descendu de deux catégories, jusqu'en 57kg, pour défier l'ancien champion du monde Yuki TAKAHASHI, qu'il a vaincu en finale de la Coupe de l'Empereur en décembre dernier, ce qui lui a permis de décrocher un billet pour le qualificatif olympique d'Asie.

Un obstacle s'est dressé sur sa route lorsqu'un foyer d'infection a éclaté parmi les lutteurs de l'Université japonaise de sciences sportives, son alma mater où il continue à s'entraîner et officie en tant que professeur assistant. Alors qu'il n'a pas été révélé si Higuchi était parmi ceux touchés par l'infection, il a déclaré avoir fait du mieux possible en les circonstances.

"En raison du coronavirus, la pratique a été réduite" dit-il. "Je suis rentré à la maison et avais beaucoup de temps libre. Je me sentais revigoré avec un sens renouvelé de l'engagement. Donc, ça n'a pas été si mauvais."

Le vétéran Sosuke TAKATANI, deux fois athlète olympique et médaillé mondial d'argent en 2014 en 74kg, qui tentera d'aller aux JO de Tokyo en 86kg, a vu lui aussi son entraînement réduit. Mais il reste imperturbable au sujet de la longue durée entre chaque camp de l'équipe nationale et l'annulation de toutes les compétitions.

"Je ne me sens pas du tout concerné," dit-il. "Chacun dans le pays doit surmonter la crise. Ce n'est pas l'histoire de 'ils ont fait comme ça ou on ne pouvait pas faire comme ci'. Je ferai ce que je peux pour me préparer pour la prochaine compétition."

Quelle sera cette compétition est toujours en suspens, mais même dans le cas du meilleur scénario, les meilleurs lutteurs du Japon devront prendre une décision difficile.

Le championnat du monde, normalement tenu en septembre, a été reprogrammé du 12 au 20 décembre à Belgrade. Mais il chevauchera ainsi les championnats du Japon prévus du 17 au 20 septembre.

Normalement, l'équipe envoyée au championnat du monde est choisie en fonction des résultats de la Coupe de l'Empereur en décembre et des championnats du Japon sur invitation de la Coupe Meiji, habituellement tenus en mai ou juin. Mais ces derniers ont été annulés cette année et un officiel de la Fédération japonaise de lutte a déclaré que les vainqueurs de la Coupe de l'Empereur se verront donner la préférence des places pour l'équipe de Belgrade. Certains, cependant, pourront choisir de rester au Japon pour la Coupe de l'Empereur, qui sera leur prérogative.

Takatani n'a pas hésité à dire qu'il optera pour Belgrade. "Mon objectif est d'être 1er mondial, donc si on m'en donne la chance je veux définitivement la médaille d'or," déclare-t-il, même si manquer la Coupe de l'Empereur mettrait un terme à ses neuf titres nationaux consécutifs.

Takuto Otoguro et Higuchi restent tous deux indécis à ce stade.

"Je dois en parler avec mon entraîneur, pour l'instant je ne sais pas," dit Otoguro, dont la plus récente compétition fut une course vers l'or à New Dehli à l'occasion du championnat d'Asie de février dernier. "Tokyo est l'objectif, c'est le standard. Quel que soit le tournoi auquel je participerai avant cela, je compte remporter le titre."

Higuchi prévoit également de jouer à chaud, ne prenant pas de décision pour l'instant mais assurant qu'il sera sur les tapis de l'une ou l'autre compétition.

"Cela dépendra du moment où je me sens de retrouver mon sens du match" dit-il.

Les équipes nationales de lutte féminine et de lutte gréco-romaine tiendront leurs camps les 20 et 21 octobre respectivement.

#WrestleKyiv21

Les inscriptions du XXIVème Tournoi Memorial des lutteurs et entraîneurs ukrainiens exceptionnels

By Eric Olanowski

Le XXIVème tournoi Memorial des lutteurs et entraîneurs ukrainiens exceptionnels se déroulera à Kiev du 26 au 28 février prochain et accueillera près de 600 participants venus de 33 pays.

REGARDER : https://www.youtube.com/playlist?list=PLVhm78Vnhay9CDvwKxN6jKq6w5UqNP3TG

Lutte libre

57kg
Abdelhak KHERBACHE (ALG)
Karen ZURABYAN (ARM) 
Afgan KHASHALOV (AZE) 
Islam BAZARGANOV (AZE) 
Aryian TIUTRIN (BLR) 
Dzimchyk RYNCHYNAU (BLR) 
Dzmitry SHAMELA (BLR) 
Mikyay NAIM (BUL) 
Beka BUJIASHVILI (GEO) 
Otari GOGAVA (GEO) 
Niklas STECHELE( GER) 
Ali GHOLI ZADEGAN KOLOUKHI (IRI) 
Almaz SMANBEKOV (KGZ)
Bekbolot MYRZANAZAR (KGZ)
Ulukbek ZHOLDOSHBEKOV (KGZ)
Petru CRACIUN (MDA) 
Andrei DUKOV (ROU) 
Razvan-Marian KOVACS (ROU) 
Nils LEUTERT (SUI) 
Andrii YATSENKO (UKR)
Kamil KERYMOV (UKR)
Roman GUTSULIAK (UKR)
Serhii TERZI (UKR)
Taras MARKOVYCH (UKR)
Nodirjon Safarov (UZB)

61kg
Razmik PAPIKYAN (ARM) 
Akhmednabi GVARZATILOV (AZE) 
Intigam VALIZADE (AZE) 
Lachinau ASADULLA (BLR) 
Uladzislau KOIKA (BLR) 
Arman ELOYAN (FRA) 
Beka LOMTADSZE (GEO) 
Teimuraz VANISHVILI (GEO) 
Viktor LUZEN (GER) 
Richard VILHELM (HUN) 
Ikromzhon KHADZHIMURADOV (KGZ)
Leonid COLESNIC (MDA) 
Ivan GUIDEA (ROU) 
Nino LEUTERT (SUI) 
Ali KARABOGA (TUR) 
Cabbar DUYUM (TUR) 
Saban KIZILTAS (TUR) 
Andrii DZHELEP (UKR)
Oleksandr EVSEENKO (UKR)
Valentyn BLIASETSKII (UKR)
Volodymyr BURUKOV (UKR)
Angelo RINI (USA) 

Iszmail MUSZUKAJEV (HUN), médaillé mondial de bronze 2019, est inscrit en 65kg (Photo : Kadir Calisan)

65kg
Amar LAISSAOUI (ALG)
Gevorg TADEVOSYAN (ARM) 
Ali RAHIMZADE (AZE) 
Dzabrayil GADZHIEV (AZE) 
Turan BAYRAMOV (AZE) 
Andre BEKRENEU (BLR) 
Dzianis SALAVEI (BLR) 
Niurgun SKRIABIN (BLR) 
Vladimir DUBOV (BUL) 
Juan Pablo GONZALEZ (ESP) 
Marwane YEZZA (FRA) 
Quentin STICKER (FRA) 
Davit TLASHADZE (GEO) 
Giorgi TCHOLADZE (GEO) 
Shmagi TODUA (GEO) 
Iszmail MUSZUKAJEV (HUN) 
Aibek TOKTOGUL (KGZ)
Alibek OSMANOV (KGZ)
Ernazar AKMATALIEV (KGZ)
Maxim SAGULTAN (MDA) 
Nikolai OKHLOPKOV (ROU) 
Stefan-Iounut COMAN (ROU) 
Ahmet DUMAN (TUR) 
Andrii SVYRYD (UKR)
Denys BOROGAN (UKR)
Erik ARUSHANIAN (UKR)
Gor OHANNESIAN (UKR)
Ivan BILEICHUK (UKR)
Mykyta GONCHAROV (UKR)
Petro BILEICHUK (UKR)
Vasyl SHUPTAR (UKR)
Vitalii GODYNA (UKR)

70kg
Arman ANDREASYAN (ARM) 
Aliaksandr PAULIUCHENKA (BLR) 
Dillon WILLIAMS (CAN) 
Mirza SKHULUKHIA (GEO) 
Zurabi IAKOBISHVILI (GEO) 
Alehander SEMISOROV (GER) 
Daniel ANTAL (HUN) 
Erfan ELAHI (IRI) 
Hertz HOROWITZ (ISR) 
Islambek OROZBEKOV (KGZ)
Gheorghe ROBU (MDA) 
Mihail SAVA (MDA) 
Tobias PORTMANN (SUI) 
Daniel CHOMANIC (SVK) 
Selahattin KILIÇSALLAYAN (TUR) 
Andrii NUGUMANOV (UKR)
Igor NYKYFORUK (UKR)
Ivan KUSYAK (UKR)
Maksym LAVROV (UKR)
Mykhailo GURSKYI (UKR)
Oleksii BORUTA (UKR)
Yegor MURADYAN (UKR)
Connor KIEVMAN (USA) 

74kg
Ishak BOUKHORS (ALG)
Hrayr ALIKHANYAN (ARM) 
Varuzhan KAJOYAN (ARM) 
Simon MARCHL (AUT) 
Ashraf ASHIROV (AZE) 
Azamat NURIKAU (BLR) 
Ali-Pasha UMARPASHAEV (BUL) 
Miroslav KIROV (BUL) 
Jasmit PHULKA (CAN) 
Jonathan ALVAREZ (ESP) 
Pablo GARCIA(ESP) 
Charles AFA (FRA) 
Giorgi SULAVA (GEO) 
Vladimeri GAMKRELIDZE (GEO) 
Lennard WICKEL (GER) 
Csaba VIDA (HUN) 
Murad KURAMAGOMEDOV (HUN) 
Mohammadsadegh FIROUZPOURBANDPEI (IRI) 
Mitch FINESILVER (ISR) 
Arsalan BUDAZHAPOV (KGZ)
Elaman DOGDURBEK (KGZ)
Evgheni NEDEALCO (MDA) 
Stanislav NOVAC (MDA) 
Vasile DIASON (MDA) 
Andrzej SOKALSKI (POL) 
Kamil RYBYCKI (POL) 
Marcin MAJKA (POL) 
Mateusz KAMPIK (POL) 
Patrick OLENCZYN (POL) 
Maxim VASILIOGLO (ROU) 
Zurab KAPRAEV (ROU) 
Marc DIETSCHE (SUI) 
Soner DEMİRTAS (TUR) 
Ali ZAKARIIEV (UKR)
Denys PAVLOV (UKR)
Kasum KASUMOV (UKR)
Semen RADULOV (UKR)
Vadym KURYLENKO (UKR)
Yevgenii DYBOVYI (UKR)
Zelimkhan TOGUZOV (UKR)
David BERKOVICH (USA)

79kg
Arman AVAGYAN (ARM) 
Rashad YUSIFLI (AZE) 
Toghrul ASGAROV (AZE) 
Andrei KARPACH (BLR) 
Yahor AKULICH (BLR) 
Oktay HASAN (BUL) 
Saifedine ALEKMA (FRA) 
Nika KENTCHADZE(GEO) 
Tariel GAPHRINDAS HVILI (GEO) 
Zurab ERBOTSONASHVILI (GEO) 
Milan MESTER (HUN) 
Hamidreza ZARINPEYKAR (IRI) 
Narbek IZABEKOV (KGZ)
Saiakbai USUPOV (KGZ)
Andrius MAZEIKA (LTU) 
Omarskhab NAZHMUDINOV (ROU) 
Vasile-Mandalin MINZALA (ROU) 
Jakub SYKORA (SVK) 
Abdullah ARSLAN (TUR) 
Abdulvasi BALTA (TUR) 
Ramazan SARI (TUR) 
Tarik GUR (TUR) 
Maksym BRES (UKR)
Nazar BOHDANETS (UKR)
Valentyn BABII (UKR)
Vasyl MYKHAILOV (UKR)
Viacheslav KOPOT (UKR)

Ali SHABANAU (BLR), quadruple médaillé mondial de bronze, est en tête d'affiche des 86kg (Photo : Martin Gabor)

86kg
Hovhannes MKHITARYAN (ARM) 
Benjamin GREIL (AUT) 
Ali SHABANAU (BLR) 
Raman CHYTADZE (BLR) 
Rasul TSIKHAYEU (BLR) 
Akhmed MAGAMAEV (BUL) 
Dzhemal ALI (BUL) 
Hunter LEE(CAN) 
Saba CHIKHRADZE (GEO) 
Sandro AMINASHVILI (GEO) 
Ahmed DUDAROV (GER) 
Georgios SAVVOULIDIS (GRE) 
Amirhossein FIROUZPOURBANDPEI (IRI) 
Uri KALASHNIKOV (ISR) 
Mirlan CHYNYBEKOV (KGZ)
Nurtilek KARYPBAEV (KGZ)
Edgaras VOITECHOVSKIS (LTU) 
Piotr IANULOV (MDA) 
Sebastian JEZIERZANSKI (POL) 
Stefan REICHMUTH (SUI) 
Akhsarbek GULAEV (SVK) 
Boris MAKOEV (SVK) 
Selim YASAR (TUR) 
Demid KARACHENKO (UKR)
Illia ARCHAIA (UKR)
Khasan ZAKARIIEV (UKR)
Mraz DZHAFARIAN (UKR)
Mukhammed ALIIEV (UKR)
Nazar Dod (UKR)
Oleksii SHCHERBAK (UKR)
Rustam DUDAIEV (UKR)
Vladyslav PRUS (UKR)

92kg
Osman NURMAGOMEDOV (AZE) 
Amarhaji MAHAMEDAU (BLR) 
Arkadzi PAHASIAN (BLR) 
Haji RAJABAU (BLR) 
Irakli MTSITURI (GEO) 
Mohammad ALITABARFIROUZJAH (IRI) 
Doolotbek ZHAMGYRBEK (KGZ)
Mihai-Nicolae PALAGHIA (ROU) 
Samuel SCHERRER (SUI) 
Arif OZEN (TUR) 
Andrii VLASOV (UKR)
Glib GRYNCHENKO (UKR)
Roman RYCHKO (UKR)

Le champion olympique de Londres Sharif SHARIFOV (AZE) luttera en 97kg (Photo: Martin Gabor)

97kg
Mohammed FARDJ (ALG)
Marzpet GALSTYAN (ARM) 
Islam ILYASOV (AZE) 
Sharif SHARIFOV (AZE) 
Vasil PAULIUCHENKA (BLR) 
Ahmed BATAEV (BUL) 
Elisbar ODIKADZE (GEO) 
Zuriko URTASHVILI (GEO) 
Wladimir REMEL (GER) 
Timofei XENIDIS (GRE) 
Symbat SULAIMANOV (KGZ)
Lukas KRASAUSKAS (LTU) 
Radu LEFTER (MDA) 
Albert SARITOV (ROU) 
Michael MANEA (ROU) 
Suleyman KARADENİZ (TUR) 
Daniil PIDLYPINETS (UKR)
Danylo STASIUK (UKR)
Ivan MALIN (UKR)
Magamed ZAKARIIEV (UKR)
Murazi MCHEDLIDZE (UKR)
Valerii ANDRIITSEV (UKR)
Vasyl SOVA (UKR)

125kg
Djahid BERRAHAL (ALG)
Hovhannes MAGHAKYAN (ARM) 
Yuri PATRIKEEV (ARM) 
Johannes LUDESCHER (AUT) 
Vaxid GALAYEEV (AZE) 
Vitali PIASNIAK (BLR) 
Islam ADIZOV (BUL) 
Solomon MANASHVILI (GEO) 
Asghar LAGHARI (GER) 
Daniel LIGETI (HUN) 
Lior ALTSHULER (ISR) 
Aiaal LAZAREV (KGZ)
Samhan JABRAILOV (MDA) 
Kamil KOSCIOLEK (POL) 
Enes KAAN SÖKELEN (TUR) 
Hüseyin SOGUKOGLU (TUR) 
Oktay GUNGOR (TUR) 
Paşa EKREM KARABULUT (TUR) 
Artem GASHENKO (UKR)
Danylo KARTAVYI (UKR)
Oleksandr KHOTSIANIVSKII (UKR)
Oleksandr KOLDOVSKYI (UKR)
Vazha DAIAURI (UKR)
Yurii IDZINSKII (UKR)

Champion du monde 2019, Nugzari TSURTSUMIA (GEO) est inscrit en 55kg (Sachiko Hotaka)

Lutte gréco-romaine

55kg
Rudik MKRTCHYAN (ARM) 
Nugzari TSURTSUMIA (GEO) 
Ramaz SILAGAVA (GEO) 
Sajjad ABBASPOURRAGANI (IRI) 
Nurmukhmmet ABDULLAEV (KGZ)
Koriun SAHRADIAN (UKR)
Taras KRUPSKYI (UKR)
Viacheslav BAYRAKTAR (UKR)
Ilkhom BAKHROMOV (UZB) 
Jasurbek ORTIKBOEV (UZB) 

60kg 
Abdeldjebbar DJEBBARI (ALG)
Abdelkrim FERGAT (ALG)
Armen MELIKYAN (ARM) 
Gevorg GHARIBYAN (ARM) 
Edmond NAZARYAN (BUL) 
Ivo ANGELOV (BUL) 
Adam MACFADYEN (CAN) 
Andy JUAN (ESP) 
Amiran SHAVADZE (GEO) 
Dato CHKHARTISHVILI (GEO) 
Gizo MELADZE (GEO) 
Irakli DZIMISTARISHVILI (GEO) 
Ali Reza NEJATI (IRI) 
Zholaman SHARSHENBEKOV (KGZ)
Andrii SEMENCHUK (UKR)
Andriy MARTYNYUK (UKR)
Ihor KUROCHKIN (UKR)
Mykhaylo STUPIN (UKR)
Mykola YAKHONTOV (UKR)
Viktor PETRYK (UKR)
Vladyslav KUZKO (UKR)

63kg
Hrachya POGHOSYAN (ARM) 
Murad HARUTYUNYAN (ARM) 
Yasin OZAY (FRA) 
Leri ABULADZE (GEO) 
Levan KAVJARADZE (GEO) 
Armin MOHEB SABET (IRI) 
Kaly SULAIMANOV (KGZ)
Kerem KAMAL (TUR) 
Hevorh ARZUMANIUAN (UKR)
Maksym LIU (UKR)
Myroslav SOLOVIAN (UKR)
Nasrullakh NASIBOV (UKR)
Oleksandr HRUSHYN (UKR)
Vasyl VASYLKIVSKYI (UKR)

67kg
Abdelmalek MERABET (ALG)
Karen ASLANYAN (ARM) 
Slavik GALSTYAN (ARM) 
Deivid DIMITROV (BUL) 
Ivo ILIEV (BUL) 
Daniel COLES (CAN) 
Marcos SANCHEZ-SILVA (ESP) 
Stefan CLEMENT (FRA) 
Giorgi SHOTADZE (GEO) 
Joni KHETSURIANI (GEO) 
Ramaz ZOIDZE (GEO) 
Mohammad ELYASI (IRI)  
Seyed Danial SOHRAB I(IRI) 
Amantur ISMAILOV (KGZ)
Marlen ASIKEEV (KGZ)
Anton KUTSENKO (UKR)
Dmytro MIROSHNYK (UKR)
Edem SALIIEV (UKR)
Oleksandr DERKACH (UKR)
Oleksii MASYK (UKR)
Ruslan KUDRYNETS (UKR)
Serhii HRUSHYN (UKR)
Vitaliy FUGLAYEV (UKR)
Aram VARDANYAN (UZB) 
Makhmud BAKHSHILLOEV (UZB) 
Mirzobek RAKHMATOV (UZB)

72kg
Malkhas AMOYAN (ARM) 
Vladislav MANKEVICH (BLR) 
Ibrahim GHANEM (FRA) 
Otar ABULADZE (GEO) 
Shmagi BOLKVADZE (GEO) 
Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) 
Atakan YUKSEL (TUR) 
Andrii KULYK (UKR)
Dmytro PYNKOV (UKR)
Ihor BYCHKOV (UKR)
Mykyta POLITAIEV (UKR)
Vladyslav KRAVCHENKO (UKR)

Deux fois médaillé mondial, Mohammadali GERAEI (IRI), dit 'Le Faucon', attends les 77kg (Photo : Sachiko Hotaka)

77kg
Abdelkrim OUAKALI (ALG)
Karapet CHALYAN (ARM) 
Varuzhan GRIGORYAN (ARM) 
Mikita KAZAKOU (BLR) 
Aik MNATSAKANIAN (BUL) 
Stoyan KUBATOV (BUL) 
Jair Alexis CUERO MUNOZ (COL) 
Yuisralembert CARRION (ESP) 
Johnny BUR (FRA) 
Bakuri GOGOLI (GEO) 
Sachino DAVITAIA (GEO) 
Amin KAVIYANINEJAD (IRI) 
Mohammadali GERAEI (IRI) 
Roman ZHERNOVETSKI (ISR) 
Akzhol MAKHMUDOV (KGZ)
Kairatbek TUGOLBAEV (KGZ)
Marcel STERKEUBURG (NED) 
Dmytro PYSHKOV (UKR)
Elmar NURALIIEV (UKR)
Oleksandr KUKHTA (UKR)
Pavlo MOLNAR (UKR)
Volodymyr YAKOVLIEV (UKR)
Yasaf ZEINALOV (UKR)

82kg
Artavazd VARDANYAN (ARM) 
Rosian DERMANSKI (BUL) 
Aivengo RIKADZE (GEO) 
Demuri KAVTARADZE (GEO) 
Mohammad NAGHOUSI (IRI) 
Kalidin ASYKEEV (KGZ)
Artem MATIASH (UKR)
Dmytro GARDUBEI (UKR)
Hlib SKOROFATOV (UKR)
Iurii SKRIUBA (UKR)
Ivan KRAICHEV (UKR)
Oleksii OSNIACH (UKR)
Jalgasbay BERDIMURATOV (UZB)

Le champion d'Europe en titre des 87kg Semen NOVIKOV (UKR) (Photo : Sachiko Hotaka)

87kg
Bachir SID AZARA (ALG)
Gevorg TADEVOSIYAN (ARM) 
Daniel ALEKSANDROV (BUL) 
Svetoslav NIKOLOV (BUL) 
Tarek ABDELSLAM (BUL) 
Yoan DIMITROV (BUL) 
Yiannis NARLIDIS (CAN) 
Lasha GOBADZE (GEO) 
Roberti KOBLIASHVILI (GEO) 
Tornike DZAMASHVILI (GEO) 
Ramin TAHERISARTANG (IRI) 
Azat SALIDINOV (KGZ)
Tyrone STERKENDURG (NED) 
Andrii ANTONIUK (UKR)
Davyd SHADT (UKR)
Dmytro KIYASHOK (UKR)
Ruslan KONIEV (UKR)
Ruslan MAHOMEDOV (UKR)
Semen NOVIKOV (UKR)
Serhii OMELIN (UKR)
Vitalii ANDRIIOVYCH (UKR)

97kg
Adem BOUDJEMLINE (ALG)
Artur ALEKSANYAN (ARM) 
Artur SHAHINYAN (ARM) 
Kiril MILOV (BUL) 
Jesus GASCA (ESP) 
Giorgi MELIA (GEO) 
Irakli KAJAIA (GEO) 
Revazi NADAREISHVILI (GEO) 
Mehdi BALIHAMZEDEN (IRI) 
Beksultan MAKHMUDOV (KGZ)
Uzur DZHUZUPBEKOV (KGZ)
Metehan BASAR (TUR) 
Andrii DEHTIAROV (UKR)
Oleksandr YEVDOKIMOV (UKR)
Valentyn SHKLIARENKO (UKR)
Vladlen KOZLUYK (UKR)
Yevhenii SAVETA (UKR)
Zielimkhan DZIHASOV (UKR)
Jahongir TURDIEV (UZB)

130kg
Hichem KOUCHIT (ALG)
David OVASAPYAN (ARM) 
Radoslav GEORGIEV (BUL) 
Jakob KAJAIA (GEO) 
Levani ARABULI (GEO) 
Zviadi PATARIDZE (GEO) 
Amin MIRZAZADEH (IRI) 
Amir GHASEMIMONJEZI (IRI) 
Roman KIM (KGZ)
Mykhailo VYSHNYVETSKYI (UKR)
Oleksandr CHERNETSKYY (UKR)
Sviatoslav KALASHNIKOV (UKR)
Vladyslav KOVALENKO (UKR)
Vladyslav VORONYI (UKR)
Muminjon ABDULLAEV (UZB) 

La championne du monde 2019 Aiusuluu TYNYBEKOVA (KGZ) fera sa première apparition depuis sa médaille d'or de la Coupe du Monde Individuelle 2020 (Photo : Kadir Caliskan)

Lutte féminine

50kg 

Ibtissem DOUDOU (ALG)
Turkan NASIROVA (AZE) 
Natallia VARAKINA (BLR) 
Viyaleta REBIKAVA-CHYRYK (BLR) 
Madison PARK (CAN) 
Jekaterina JERMALONOKA (LAT) 
Kamile SERNAUSKATE (LTU) 
Mariana DRAGUTAN (MDA) 
Ramona ERIKSEN (NOR) 
Agata WALERZAK (POL) 
Anna ŁUKASIAK (POL) 
Iwona MATKOWSKA (POL) 
Emilia-Alina VUC (ROU) 
Stefania-Claudia PRICEPUTU (ROU) 
Aynur ERGE (TUR) 
Bohdana YASHCHUK (UKR)
Liliia MALANCHUK (UKR)
Oksana LIVACH (UKR)
Veronika MOSKALOVA (UKR)
Yana SOROKA (UKR)
Dauletbike YAKHSHIMURATOVA (UZB) 
Jasmina IMMAEVA (UZB)

53kg 
Lamia CHEMLAL (ALG)
Leyla GURBANOVA (AZE) 
Tatyana VARANSOVA (AZE) 
Vanesa KALADZINSKAYA (BLR) 
Sezen BELBEROVA (BUL) 
Diana WEICKER (CAN) 
Samanta STEWART (CAN) 
Marina RUEDA (ESP) 
Iulia LEORDA (MDA) 
Silje Knutsen KIPPERNES (NOR) 
Alicja CZYŻOWICZ (POL) 
Katarzyna KRAWCZYK (POL) 
Roksana ZASINA (POL) 
Andreea-Beatrice ANA (ROU) 
Esra PUL (TUR) 
Zeynep YETGİL (TUR) 
Iryna HUSYAK (UKR)
Khrystyna BEREZA (UKR)
Liliya HORISHNA (UKR)
Mariia VYNNYK (UKR)
Aktenge KEUNIMJAEVA (UZB) 

55kg
Othelie Annette HOEIE (NOR) 
Anastasiia KRAVCHENKO (UKR)
Anna VOITOVA (UKR)
Khrystyna-Zoryana DEMKO (UKR)
Nataliia KLIVCHUTSKA (UKR)
Oleksandra KHOMENETS (UKR)
Madina USMONJONOVA (UZB)

Anastasia NICHITA (MDA) remonte sur les tapis pour la première fois depuis son titre à la Coupe du Monde Individuelle fin 2020 (Photo : Gabor Martin)

57kg
Rayan HOUFAF (ALG)
Alyona KOLESNIK (AZE) 
Iryna KURACHKINA (BLR) 
Giullia RODRIGUES DE OLIVEIRA (BRA) 
Biliana DUDOVA (BUL) 
Tianna KENNETT (CAN) 
Graciela SANCHEZ (ESP) 
Maria Victoria BAEZ (ESP) 
Nuraida ANARKULOVA (KGZ)
Sezim ZHUMANAZAROVA (KGZ)
Anastasia NICHITA (MDA) 
Grace Jacob BULLEN (NOR) 
Angelina ŁYSAK (POL) 
Jowita WRZESIEŃ (POL) 
Magdalena GŁODEK (POL) 
Patrycja GIL (POL) 
Bediha GUN (TUR) 
Mehlika OZTURK (TUR) 
Alina HRUSHYNA (UKR)
Iryna KHARIV (UKR)
Solomiia VYNNYK (UKR)
Laylokhon SOBIROVA (UZB) 
Sevara ESHMURATOVA (UZB) 
Shokhida AKHMEDOVA (UZB) 

59kg
Ineta DANTAITE (LTU) 
Kateryna ZELENYKH (UKR)
Laura Sofia AAK (NOR) 
Mariana CHERDIVARA (MDA) 
Nazira MARSBEK KYZY (KGZ)
Oksana MOSKALOVA (UKR)
Sofiia BODNAR (UKR)
Yuliia LISOVSKA (UKR)

62kg 
Amel HAMMICHE (ALG)
Tetiana OMELCHENKO (AZE) 
Krystsina SAZYKINA (BLR) 
Tatsiana PAULAVA (BLR) 
Veranika IVANOVA (BLR) 
Lais NUNES DE OLIVEIRA (BRA) 
Jessica BROUILLETTE (CAN) 
Michelle FEZZARI (CAN) 
Jackeline CASTILLO (COL) 
Lydia PEREZ (ESP) 
Aiusuluu TYNYBEKOVA (KGZ)
Alina Aleksandra ANTIPOVA (LAT) 
Aleksandra WÓLCZYŃSKA (POL) 
Katarzyna MĄDROWSKA (POL) 
Natalia KUBATY (POL) 
Kriszta-Tuende INCZE (ROU) 
Asli TUGCU (TUR) 
Cansu AKSOY (TUR) 
Antonyna KULAHINA (UKR)
Ilona PROKOPEVNIUK (UKR)
Tetiana RІZHKO (UKR)
Yuliia TKACH (UKR)
Ariukhan JUMABAEVA (UZB) 
Nabira ESENBAEVA (UZB) 
Rushana ABDIRASULOVA (UZB) 

65kg
Elis MANOLOVA (AZE) 
Irina RINGACI (MDA) 
Henna JOHANSSON (SWE) 
Anastasia OSTAPYK (UKR)
Manola SKOBELSKA (UKR)
Mariia ILCHYSHYN (UKR)
Oksana KUKHTA (UKR)

Meerim ZHUMANAZAROVA (KGZ), championne de sa catégorie lors de la Coupe du Monde Individuelle, concourera en 68kg. (Photo : Sachiko Hotaka)

68kg
Irina NETREBA (AZE) 
Hanna SADCHANKA (BLR) 
Maria MAMASHUK (BLR) 
Yuliana YANEVA (BUL) 
Olivia DI BACCO (CAN) 
Meerim ZHUMANAZAROVA (KGZ)
Elma ZEIDLERE (LAT) 
Danute DOMIKAITYTE (LTU) 
Agnieszka WIESZCZEK –KORDUS (POL) 
Natalia STRZAŁKA (POL) 
Alexandra-Nicoleta ANGHEL (ROU) 
Asli DEMİR (TUR) 
Buse TOSUN (TUR) 
Nesrin BAS (TUR) 
Alina BEREZHNA (UKR)
Alina RUDNYTSKA (UKR)
Alla CHERKASOVA (UKR)
Anna MAZURKEVYCH (UKR)
Oksana CHUDYK (UKR)
Oryna BILOUS (UKR)
Svetlana OKNAZAROVA (UZB) 

72kg
Gozal ZUTOVA (AZE) 
Alla BELINSKA (UKR)
Anastasiya ALPYEYEVA (UKR)
Romana VOVCHAK (UKR)
Ozoda ZARIPBOEVA (UZB)

76kg 
Sabira ALIYEVA (AZE) 
Vasilisa MARZALIUK (BLR) 
Aline DA SILVA FERREIRA (BRA) 
Erica WIEBE (CAN) 
Mae EPP (EST) 
Aiperi MEDET KYZY (KGZ)
Kamile GAUCAITE (LTU) 
Iselin Maria Moen SOLHEIM (NOR) 
Patrycja SPERKA (POL) 
Catalina AXENTE (ROU) 
Aysegul OZBEGE (TUR) 
Yasemin ADAR (TUR) 
Anastasiia OSNIACH (UKR)
Anna MELNYK (UKR)
Liudmyla PAVLOVETS (UKR)