Festival Virtuel UTS de la Jeunesse 2020

UTS lance le logo officiel du Festival Vituel de la Jeunesse 2020

By United World Wrestling Press

CORSIER-SUR-VEVEY (le 22 septembre) -- United Through Sports (UTS), partenaire d'United World Wrestling, a lancé le logo officiel de la première édition du Festival Virtuel de la Jeunesse 2020.

Selon le communiqué de presse d'UTS, le logo "représente l'unité dans la diversité par l'inclusion de tous les jeunes, quelles que soient leurs capacités."

Le design affiche une palette de couleurs dynamiques, audacieuses et fraîches, attrayantes pour les jeunes générations et symbolisant le plaisir et l'optimisme. Le logo du festival est basé sur le logo officiel d'UTS et est adapté au nouveau concept de festival virtuel.

Le milieu du logo symbolise le monde digital. Quatre jeunes personnes entourent le globe terrestre et sont connectées dans le partage d'une même expérience, le même événement au même moment. La police d'écriture a été choisie pour son approche urbaine, terre-à-terre, en coup de pinceau, pour exprimer une impression de mouvement et de créativité.

Ce festival encourage la jeunesse à faire preuve de son talent et de sa créativité si particuliers, et lui offre la possibilité de briller dans cette époque assombrie. Plus de 60 organisations et fédérations seront participantes ou contribueront à cet événement unique parrainé par le Comité International Olympique, le Comité International Paralympique, Special Olympics, Sportaccord et l'AGFIS.

UTS a pour objectif la promotion de l'intégration par le sport, d'encourager un changement de perspective et la création d'opportunités pour les jeunes selon leurs capacités.

Le Festival Virtuel UTS de la Jeunesse sera le premier de la sorte chargé de promouvoir l'unité à travers le sport.

Le Président d'UTS/AIMSt, Stephan Fox, a déclaré : “Le moment est arrivé de nous unir pour un monde meilleur. Beaucoup d'enfants de par le monde resteront en quarantaine après la fin de la pandémie et nous avons besoin de solutions durables pour arriver jusqu'à eux, leur donner des opportunités et les intégrer.”

Nous ressentons tous l'effet de la pandémie sur la communauté sportive internationale. "Aucun enfant ne doit être laissé derrière ou oublié et nous avons aujourd'hui une chance unique de motiver la jeunesse et de la garder engagée dans le sport pour sa santé physique et son bien-être.”

“Le festival donnera à la jeunesse du plaisir à travers l'écosystème digital. Avec l'augmentation des problèmes de santé mentale pendant la pandémie de covid-19, nous devons nous rappeler que la jeunesse fait face à de nombreux obstacles durant cette crise.”

#WrestleOslo

Aisululu Tynybekova, première femme kirghize médaillée olympique, revient sur son parcours inspiré

By Eric Olanowski

OSLO, Norvège (le 18 novembre) --- Aisululu Tynybekova (KGZ) a parlé avec United World Wrestling de la défense couronnée de succès de son titre mondial des 62kg au championnat du monde 2021 d'Oslo, un mois après être devenue la première femme kirghize médaillée aux Jeux Olympiques.

Quelques instants après avoir vaincu Kayla MIRACLE (USA), médaillée mondiale d'argent 2019 des U23, en finale des 62kg par 7-0, la désormais double championne du monde a discuté avec United World Wrestling, revenant sur l'incroyable parcours qui l'a amenée à devenir l'une des figures les plus marquantes de la discipline.

Elle n'a pas eu, à Oslo, à combattre son ennemie jurée Yukako KAWAI (JPN), qui l'avait vaincue en finale des Jeux Olympiques de Tokyo et qui, comme l'ensemble des médaillés Japonais, ne s'est pas rendue à Tokyo.

Mais cela ne signifie pas que les choses furent faciles pour Tynybekova. Au premier tour, elle fut tout d'abord menée 4-0 par la double championne du monde des cadets Nonoka OZAKI (JPN), avant de remonter pour vaincre 6-4, et son quart de finale fut également laborieux.

"La finale d'aujourd'hui fut le combat le plus facile de tous ceux de cette compétition," a déclaré Tynybekova. "Le premier jour, les trois combats ont été tous très durs, et je peux dire que c'est de justesse que je les ai gagnés dans les dernières secondes. "J'avais lutté contre l'Américaine lors du tournoi international en Italie et je sais comment elle se bat. Avec mon coach nous avions compris sa technique et j'ai juste fait tout ce qu'il m'avait dit."

Finalement, gagner est tout ce qui compte pour cette femme devenue la première championne du monde de l'histoire de son pays, hommes et femmes confondus. A Tokyo, elle est également devenue l'une des deux premières femmes kirghizes médaillées aux Jeux Olympiques tous sports confondus.

"Dès que je suis sortie du tapis, mon coach m'a félicitée. Qu'il soit heureux est la chose la plus importante pour moi. Je crois que tous les kirghizes sont heureux aussi. Quant à être deux fois championne du monde, je peux dire que je me suis prouvée à moi-même que c'était possible. Bien sûr, ça me réjouit. Surtout après ma défaite aux Jeux Olympiques, j'ai pu bien me préparer et gagner. Cela veut dire beaucoup pour moi."