Développement

Acteur clé de la lutte dans le programme " Women Lead Sports " de l'ASOIF

By United World Wrestling Press

Dirigée par Deqa Niamkey, Directrice du Développement d’UWW, la lutte et son équipe du développement ont joué un rôle clé dans l'accomplissement de la mission de l'ASOIF de fournir des cours et des opportunités de leadership aux femmes leaders dans le sport qui cherchent à « renforcer leur confiance en elles et acquérir des compétences importantes pour influencer, négocier, communiquer , naviguer dans la politique, gérer les parties prenantes et diriger dans des environnements dominés par les hommes »

Un extrait de l'article de l’ASOIF :

Au cours des deux derniers mois, plus de 60 futures femmes dirigeantes des fédérations membres de l'ASOIF ont terminé avec succès une série de sessions virtuelles de coaching en direct, visant à les préparer à occuper des postes électifs dans leur Fédération Internationale (FI), Association Continentale ou Fédération Nationale.

La master classe en ligne « Women Lead Sports », dirigée par l'entraîneur professionnel Gabriela Mueller, a été créée pour aider à augmenter le nombre de femmes à des postes de direction dans le Mouvement Olympique. Entre autres, les participantes apprennent à renforcer leur confiance en elles et à acquérir des compétences importantes pour influencer, négocier, communiquer, naviguer dans la politique, gérer les parties prenantes et diriger dans des environnements dominés par les hommes. Elles bénéficient également d'un accompagnement personnalisé, les aidant à définir leurs prochaines étapes stratégiques. Le cours adapté aux fédérations membres de l'ASOIF a été adapté à la réalité actuelle de la pandémie COVID-19, avec des congrès et des élections se déroulant sous différents formats et nécessitant de fortes compétences en communication numérique. Des dirigeantes seniors ont participé à certaines sessions pour partager leur expérience, fournir des conseils et inspirer.

« Le programme a été une réponse rapide et efficace pour préparer un avenir égal dans un monde du sport COVID-19 et pour la suite », a déclaré Gabriela Mueller. « Même si dans de nombreux cas, la pandémie a affecté la progression de l’égalité des genres dans plusieurs secteurs, la master classe en ligne permet aux femmes de mener des campagnes, de se faire élire et de diriger. »

Article complet sur le site internet de l’ASOIF, here

Moments d'Histoire aux Championnats du Monde de Lutte Libre Seniors

By United World Wrestling Press

Le Comité Exécutif d'United World Wrestling a donné; la semaine dernière, son approbation à la tenue du championnat du monde de lutte seniors 2020 tel que prévu, du 12 au 20 décembre prochain à Belgrade, capitale de la Serbie.

Le compte Instagram d'United World Wrestling propose de revenir sur les moments historiques les plus importants des championnats du monde de lutte libre seniors.


En 1951, la Turquie remporte six des huit médaille d'or de lutte libre en jeu.

En 1961, l'Iran est la première équipe du continent asiatique à remporter un titre mondial de lutte libre, un exploit accompli au Japon lors des mondiaux de Yokohama.

En 1967, Ali ALIEV (URS) devient le premier quintuple champion du monde de lutte libre, médaillé d'or en 1959, 1961, 1962, 1966 et 1967. Cette même année 1967, l'Union Soviétique s'empare de son 19ème titre de lutte libre par équipe consécutif.

En 1970, Abdollah MOVAHED (IRI) couronne - invaincu - cinq courses au titres (1965-1970) et devient le premier lutteur asiatique quintuple champion du monde de lutte libre. 

En 1971, Alexsandr MEDVED (URS) remporte son historique 7ème titre mondial (1962, 1963, 1966, 1967, 69, 70 et 71).

En 1975, Zevegiin OIDOV (MGL) devient le premier - et le seul à ce jour - Mongol à remporter deux titres mondiaux d'affilée.

En 1985, Raul FONSECA (CUB) devient le premier champion du monde cubain de l'histoire de la lutte libre grâce à sa victoire sur Dave SCHULTZ (USA) en finale.

En 1987, Sergei BELOGLAZOV (RUS) remporte son 6ème titre mondial. "Même si tu gagnes le championnat du monde, le lendemain tout est à recommencer," dit Beloglazov. "Tu es seul et tout est à refaire."

En 1992, John SMITH (USA) décroche son 4ème titre mondial d'affilée. "J'ai obtenu le droit d'être capable de faire usage de techniques pointues," dit Smith. "Et cela n'avait rien à voir avec le talent. C'était dû à ma détermination à devenir meilleur."

En 1993, l'équipe des Etats-Unis remporte le titre mondial à Toronto, au Canada, et devient la première équipe panaméricaine à le faire. 

En 1995, Valentine YORDANOV (BUL) rentre dans l'histoire en devenant le premier athlète de lutte libre 10 fois médaillé mondial (7 d'or, 2 d'argent et 1 de bronze).

En 1999, Daniel IGALI (CAN) vainc Lincoln MCILRAVY (USA) et remporte le premier titre mondial de lutte libre du Canada. 

En 2003, Arif ABDULLAEV (AZE) renverse Quintana MIGUEL (CUB) en finale des mondiaux pour devenir le premier champion du monde de lutte libre de l'Azerbaïdjan tous styles confondus.

En 2005, le grand lutteur libre Buvaisar SAITIEV (RUS) remporte son sixième et dernier titre mondial. 

En 2010, Sushil KUMAR (IND) est le premier lutteur indien couronné champion du monde. "2010 fut la meilleure année," dit Kumar. "Quel que soit le lieu où j'allais, je remportais l'or. Jeux du Commonwealth, championnat d'Asie, championnat du monde."

En 2011, Jordan BURROUGHS (USA) décroche, lors de ses débuts en championnat du monde, le premier de ses quatre titres mondiaux à Istambul, en Turquie. 

En 2018, Takuto OTOGURO (JPN) devient le plus jeune champion du monde de lutte libre du Japon tous styles confondus, à l'âge de 19 ans.