#CARDA

Azimi nommé à la tête de la CARDA au Guatemala

By United World Wrestling Press

GUATEMALA CITY, Guatemala (9 mars) --- Le "Centre de haute performance et de développement pour les Amériques" a récemment réouvert dans la capital guatémaltèque après la fermeture temporaire des installations en raison de la pandémie du COVID-19.

Dès la réouverture très attendue du centre, United World Wrestling a nommé Reza AZIMI, 44 ans, comme nouvel entraîneur principal du CARDA (acronyme espagnol).

Azimi, originaire d'Iran, apporte au Guatemala une grande expérience du haut niveau en tant qu'entraîneur et compétiteur. Il a eu une carrière remarquable en tant qu'athlète de 1993 à 1997, gagnant des médailles aux championnats du monde U17, U20 et U23.

Le succès d'Azimi s'est poursuivi dans sa carrière d'entraîneur. Il a exercé avec succès ses fonctions en Iran, au Nicaragua et en Inde.
•    Entraîneur de l'équipe nationale d'Iran de 2013à 2015.
•    Entraîneur de l'équipe nationale du Nicaragua en 2017.
•    Entraîneur de l'équipe nationale d'Inde et de l'équipe de Punjab, 2020-2021.

M. Francisco Lee, Président d'UWW Amériques, a accueilli Azimi au Guatemala les bras ouverts. A l'arrivée d'Azimi, M. Lee a souligné la coopération sportive entre les fédérations nationales d'Iran et du Guatemala et a souhaité succès au nouvel entraîneur.

#WrestleOslo

Aisululu Tynybekova, première femme kirghize médaillée olympique, revient sur son parcours inspiré

By Eric Olanowski

OSLO, Norvège (le 18 novembre) --- Aisululu Tynybekova (KGZ) a parlé avec United World Wrestling de la défense couronnée de succès de son titre mondial des 62kg au championnat du monde 2021 d'Oslo, un mois après être devenue la première femme kirghize médaillée aux Jeux Olympiques.

Quelques instants après avoir vaincu Kayla MIRACLE (USA), médaillée mondiale d'argent 2019 des U23, en finale des 62kg par 7-0, la désormais double championne du monde a discuté avec United World Wrestling, revenant sur l'incroyable parcours qui l'a amenée à devenir l'une des figures les plus marquantes de la discipline.

Elle n'a pas eu, à Oslo, à combattre son ennemie jurée Yukako KAWAI (JPN), qui l'avait vaincue en finale des Jeux Olympiques de Tokyo et qui, comme l'ensemble des médaillés Japonais, ne s'est pas rendue à Tokyo.

Mais cela ne signifie pas que les choses furent faciles pour Tynybekova. Au premier tour, elle fut tout d'abord menée 4-0 par la double championne du monde des cadets Nonoka OZAKI (JPN), avant de remonter pour vaincre 6-4, et son quart de finale fut également laborieux.

"La finale d'aujourd'hui fut le combat le plus facile de tous ceux de cette compétition," a déclaré Tynybekova. "Le premier jour, les trois combats ont été tous très durs, et je peux dire que c'est de justesse que je les ai gagnés dans les dernières secondes. "J'avais lutté contre l'Américaine lors du tournoi international en Italie et je sais comment elle se bat. Avec mon coach nous avions compris sa technique et j'ai juste fait tout ce qu'il m'avait dit."

Finalement, gagner est tout ce qui compte pour cette femme devenue la première championne du monde de l'histoire de son pays, hommes et femmes confondus. A Tokyo, elle est également devenue l'une des deux premières femmes kirghizes médaillées aux Jeux Olympiques tous sports confondus.

"Dès que je suis sortie du tapis, mon coach m'a félicitée. Qu'il soit heureux est la chose la plus importante pour moi. Je crois que tous les kirghizes sont heureux aussi. Quant à être deux fois championne du monde, je peux dire que je me suis prouvée à moi-même que c'était possible. Bien sûr, ça me réjouit. Surtout après ma défaite aux Jeux Olympiques, j'ai pu bien me préparer et gagner. Cela veut dire beaucoup pour moi."