Japon

Avec le retour des lycéens sur les tapis, le Japon organise son premier tournoi national depuis février

By Ken Marantz

NIIGATA, Japon -- Seuls perçaient, stridents, les coups de sifflet des arbitres, soufflés derrière des visières de protections en plastique. A part les cris des entraîneurs aux quatres coins de la salle, les seuls encouragements audibles montaient, étouffés par les indispensables masques, des stands des coéquipiers des lutteurs.

Le Japon s'est encore rapproché d'un pas vers la normalité en cette époque de pandémie en tenant, de façon prudente et optimiste, son premier tournoi national depuis février dernier, la Coupe Kazama ou championnat national des collèges sur invitation, du 9 au 11 octobre.

Les protocoles de prévention sanitaire étaient fermement maintenus pour l'arrivée des plus de 300 collégiens de seconde et troisième années dans la ville portuaire de Niigata pour un tournoi initialement programmé au mois de mars -- et pour un temps simplement annulé.

Mais il y a moins d'un mois, les restrictions sur le sport et les événements de grande ampleur ont commencé à être levées, et la fédération de lutte située dans la préfecture de Niigata a relevé le défi d'accueillir ce qui se rapproche d'un modèle pour les tournois dans le futur proche.

A referee wearing a face shield keeps an eye on the action. (Japan Wrestling Federation photo)Un arbitre masqué observe l'action (Photo : Fédération japonaise de lutte).

"J'ai l'impression que l'attente est finalement terminée,' dit Yoshihiko HARA, vice-président du comité organisateur du tournoi, pouvant enfin contempler l'événement en cours sous ses yeux et comprenant des compétitions par équipes séparées et des combats individuels.

"Nous avons besoin d'un mois pour nous préparer, mais le tournoi a été repoussé d'une semaine encore et nous avons dû attendre la décision jusqu'à ce qu'il ne reste plus que trois semaines. La préfecture de Niigata a grandement allégé les restrictions et nous avons pu accueillir la compétition."

La Coupe Kazama est l'un des trois tournois de la 'triple couronne' des garçons, avec l'Intercollège et les Jeux Nationaux (Kokutai). Ces deux derniers annulés pour de bon, les officiels de la lutte nationale souhaitaient donner aux seniors sortants un objectif final.

"Pour les élèves de troisième, c'est le dernier tournoi," déclare le Vice-Président de la Fédération japonaise de lutte Hideaki TOMIYAMA. "Avec l'annulation de l'Intercollège et des Kokutai, ils n'avaient plus rien. C'est bien qu'ils en aient un."

Tomiyama a repoussé la suggestion que la Fédération n'aille un peu trop vite en besogne en mettant la pression pour organiser la compétition.

Everyone entering the facility had their temperature automatically taken. (Japan Wrestling Federation photo)Chaque personne pénétrant sur les lieux voyait sa température prise (Photo : Fédération japonaise de lutte).

"Voyant ce qui se passait dans les autres sports, les sports professionnels ont graduellement permis le retour des spectateurs," dit-il, se référant aux principaux sports professionnels japonais, le sumo, le basket et le football. "Il faut tout d'abord avancer. Tant que vous vous préparez minutieusement en prenant des contre-mesures fermes, cela peut-être fait."

Un précédent avait été établi le mois dernier, en quelque sorte, par l'accueil par la préfecture de Niigata du championnat national universitaire d'athlétisme.

"Avant cela, il y a eu une rencontre nationale universitaire d'athlétisme où les restrictions étaient très sévères," dit Hara, natif de Niigata, ancien quintuple champion du Japon de lutte libre et deux fois athlète olympique. "Les athlètes et les entraîneurs n'avaient pas le droit de quitter leur hôtel et devaient prendre un engagement écrit. 1'300 athlètes étaient présents."

Dissiper les craintes locales
Tandis que la ville de Niigata, située sur la côte de la Mer du Japon à environ 250 km au nord-ouest de Tokyo, a une population de 810,000 habitants, la préfecture éponyme dans laquelle elle se trouve demeure un mélange de régions rurales et montagneuses.

La préfecture a échappé au gros de l'épidémie -- il y a eu moins de 200 cas enregistrés et aucun décès à déplorer. C'est l'opposé de ce qui s'est passé à Tokyo, qui a continuellement enregistré de 100 à 200 cas par jour et recense environ le quart des 1,670 décès relevés au Japon. Les habitants locaux sont donc constamment inquiets que des personnes de l'extérieur puissent transmettre la maladie.

"Nous sommes loin de Tokyo et il y a eu beaucoup de plaintes au sujet de la tenue du tournoi," dit Hara. '''Pourquoi organiser un événement national ? Pourquoi les gens de Tokyo viennent-ils ici?' Il y a toujours une 'allergie' aux événements sportifs."

A wrestler bows to his opponent's corner after his match instead of shaking hands. (Japan Wrestling Federation photo)Un lutteur s'incline face au carré de ses adversaires après son combat au lieu qu'ils se serrent la main (Photo : Fédération japonaise de lutte).

Au contraire des autres sports individuels tels que l'athlétisme, le tennis ou le golf, la lutte et les autres sports de contact se trouvent dans une situation bien plus compliquée losqu'il s'agit de contrecarrer le développement d'une infection. Ceci était vrai avant l'arrivée du coronavirus et l'est plus encore aujourd'hui.

Dans ces conditions, d'autres sports de contact, ainsi que les médias, étaient très intéressés par la manière dont la lutte gérerait la Coupe Kazama. Hara a pu constater que trois officiels nationaux de la boxe étaient venus en observateurs.

"C'est le premier tournoi national d'un sport de contact," dit-il. "Le rugby est annulé. Le judo aussi. Nous organisons le premier événement collégien à une échelle nationale, alors ça fait les gros titres. Les demandes d'interviews ne sont pas adressées à nous qui sommes impliqués dans la lutte, mais au médecin du site et aux volontaires prenant la température à l'entrée. Malgré tout, nous sommes contents."

Les règles étaient strictes et exclusives. Seuls les lutteurs, les entraîneurs et les officiels du tournoi avaient le droit d'être présents sur le site, le Centre général des sports Higashi, ce qui signifiait pas de membres de la famille, d'amis ou d'autres spectateurs. Comme la préparation des équipes était limitée, il avait été recommandé aux lutteurs de ne pas perdre de poids de façon excessive et une tolérance de 2 kilos adoptée.

Toute personne pénétrant dans l'arène devait soumettre un formulaire relevant sa température quotidienne des 14 derniers jours. Au pupitre de réception, des caméras infrarouges étaient installées pour prendre à nouveau la température des entrants. A l'intérieur tous, sauf les lutteurs en combat sur les quatre tapis, devaient porter un masque à tout moment.

L'accès à la salle d'échauffement était limité pour éviter tout attroupement. "Le plus gros problème fut de faire maintenir les distances sociales aux personnes présentes là-bas," dit Hara. Les arbitres sur les tapis portaient des protections faciales et, après chaque combat, les lutteurs s'inclinaient face à l'entraîneur de l'adversaire au lieu de la poignée de mains habituelle.

"Il faut prudemment gérer la zone de réception," commente Tomiyama. "Si vous faites cela, il n'y a pas vraiment de problème. Sans spectateur, nous pouvons vérifier toute personne qui vient ici."

Tuvaadorj BUKHCHULUUN (NSSU Kashiwa) battles Kyo KITAWAKI (Nirasaki Technical) in the 92kg final. (Japan Wrestling Federation photo)Tuvaadorj BUKHCHULUUN (NSSU Kashiwa) aux prises avec Kyo KITAWAKI (Nirasaki Technical) en final des 92kg (Photo : Fédération japonaise de lutte).

L'empreinte finale de la Mongolie
Le tournoi prévoyait 48 entrées dans la compétition par équipe et dans chacune des huit catégories de poids individuelles, sélectionnées des neuf régions japonaises et de Niigata. Le nombre d'allocations par région allait de huit pour Kanto (qui comprend Tokyo) et Kyushu à une pour Hokkaido. Le tirage réalisé en mars fut utilisé comme tel, il y eu donc de cinq à 10 absents par division.

Les festivités furent lancées par la compétition par équipe, tenue le premier jour et la matinée du second, dans un style de duels en knockout entre des groupes de sept lutteurs.

Le collège de la préfecture de Chiba, de l'Université japonaise des sciences sportives Kashiwa, a décroché son quatrième titre d'affilée en vainquant Saitama Sakae par 5-2 en finale. NSSU Kashiwa a atteint la finale en se défaisant d'une autre école de la préfecture de Saitama, Hanasaki Tokuharu, par 4-3 en demi-finale.

Le Mongolien Tuvaadorj BUKHCHULUUN a offert la victoire décisive en demi-finale des 125kg sur Hanasaki Tokuharu, pour devenir le seul des trois lutteurs de NSSU Kashiwa à remporter une couronne individuelle en finale, l'or des 92kg.

Bukhchuluun a aligné 4 victoires par supériorité technique sans concéder un seul point, avant d'écraser Kyo KITAWAKI, de l'Ecole Technique Nirasaki, préfecture de Yamanashi, par 6-0 en finale.

Pour Bukhchuluun, cette victoire ne marque pas seulement la fin de sa carrière de collégien, mais de sa carrière d'athlète de lutte libre aussi. Il déclare qu'il rejoindra l'équipe sumo de l'Université japonaise des sciences sportives l'année prochaine, son premier pas vers une carrière dans cette discipline, dominé ces dernières années par la Mongolie.

Bukhchuluun, qui parle un japonais de conversation, dit que ce changement est la réalisation d'une promesse faite à son père avant son décès en 2018. "Je voulais lutter à l'université, mais il voulais que je rejoigne les sumos," dit-il.

Bukhchuluun n'a débuté la lutte qu'en 2016, remportant le championnat junior des lycéens de Mongolie l'année suivante. Ceci attira l'attention de l'ancien yokozuna (grand champion) sumo Asashoryu, qui aida le jeune homme à entrer la NSSU Kashiwa comme étudiant étranger.

L'année dernière, Bukhchuluun a remporté le titre des 92kg de l'Intercollège et des Kokutai, vainquant les deux fois Atsushi Miura du Collège Amino, préfecture de Kyoto, en finale. C'était une revanche sur la défaite encaissée face à Miura en finale de la Kazama. Cette année, tous deux ont terminé victorieux, car Miura est passé en 125kg et a obtenu l'or pour son second titre.

Une différence de taille pour Bukhchuluun, qui se prépare à une carrière dans le sumo, est qu'il ne s'agira plus seulement d'atteindre un certain poids (bien qu'avec un poids naturel de 83kg, ce n'était pas vraiment un sujet inquiétude). Il lui faudra maintenant s'épaissir dans un sport où 100kg sont considérés comme un poids léger. "Je dois grossir pour gagner," dit-il.

Kaisei TANABE (NSSU Kashiwa), the son of an Olympic medalist, had to settle for the silver after a loss in the 55kg final to Kento YUMIYA (Inabe Sogo Gakuen).  (Japan Wrestling Federation photo)Kaisei TANABE (NSSU Kashiwa), fils d'un médaillé olympique, a dû se contenter de l'argent, vaincu en finale des 55kg par Kento YUMIYA (Inabe Sogo Gakuen) (Photo : Fédération japonaise de lutte).

Des liens familiaux peu concluants
Les autres finales offraient une poignée de noms que les fans de luttent peuvent reconnaître, même si leurs propriétaires ont finalement obtenu des résultats mitigés.

Kaisei TANABE, de la NSSU Kashiwa, fils du médaillé olympique de bronze des JO d'Athènes de 2004 Chikara TANABE, a dû se contenter d'une médaille d'argent pour la deuxième année d'affilée, vaincu 4-2 en finale des 55kg par Kento YUMIYA du Inabe Sogo Gakuen de la préfecture de Mia.

Yumiya, champion des Kokutai, marche dans les pas de son grand frère Hayato, champion des 55kg en 2019, où il avait obtenu une sortie de tapis à 25 secondes de la fin alors que Tanabe menait 2-2 sur critères.

"La dernière partie de mes combats est mon point le plus faible," dit Tanabe. "Je dois y remédier pour le prochain tournoi."

Pour Tanabe, vaincu en finale des 51kg l'année dernière, ce combat était son onzième en trois jours, rencontres par équipe et combats individuels combinés.

"C'était dur, mais en venant au tournoi je voulais gagner les titres par équipe et le titre individuel aussi. Jusqu'à la demi-finale, j'étais bien," dit-il, ajoutant qu'il se sentait adéquatement préparé.

L'année prochaine, Tanabe rejoindra sa soeur aînée Yumeka TANABE, la championne du monde 2019 des U23 en 59kg, à l'Université japonaise des sciences sportives, où leur père est entraîneur. Son père aurait normalement été à ses côtés à Niigata si les restrictions ne l'en avait pas empêché.

"Il me donnait des conseils par téléphone," dit Kaisei. "C'était suffisant."

En finale des 51kg, Taiga ONISHI, de l'Ecole Technique de la préfecture de Saga, a décroché une victoire par supériorité technique 11-1 sur Akito MUKAIDA du Hanasaki Tokuharu, le plus jeune frère de la double championne du monde de lutte féminine Mayu MUKAIDA.

C'est le second titre majeur d'Onishi, vainqueur l'année passée du titre de lutte gréco-romaine des 55kg aux Kokutai.

The eight gold medalists gather for a group photo.  (Japan Wrestling Federation photo)Les huit médaillés d'or réunis pour une photo de groupe (Photo : Fédération japonaise de lutte)​​​​​​​

Entre-temps, Iori KOSHIBA, de l'Ecole Technique Tosu, fils du médaillé d'argent des Jeux d'Asie de 1998 Kenji KOSHIBA, a décroché son premier titre majeur grâce à une victoire par supériorité technique 10-0 sur Taishin YAMAJI de la Wakayama Kita en finale des 71kg.

Les lutteurs de Saitama Sakae ont ramené à la maison deux des trois autres médailles d'or en jeu, avec Kenji OGINO remportant les 60kg et Fumiya IGARASHI les 80kg. Ryosuke KERA, de la Hanasaki Tokuharu, a triomphé en 65kg.

Pour une photo d'époque, les huit meilleurs lutteurs de chaque catégorie de poids ont reçu leurs prix (médaille pour les quatre meilleurs, certificats pour les cinquièmes places) en portant leurs masques, qu'ils ont conservés pour la photo officielle. Les huit champions les ont ensuite enlevés pour une photo de groupe.

Bien que le tournoi a semblé s'être déroulé sans anicroche majeur, les officiels ont bien conscience qu'ils ne sont pas encore sortis d'affaire étant donné le temps qu'il faut pour que les potentiels symptômes d'infection soient détectés.

"Je ne crois pas que je vais pouvoir dormir les deux semaines suivant la fin du tournoi," a déclaré un officiel sur le site de la fédération avant la compétition. "Je serai inquiet que quelqu'un soit testé positif."

#WrestleBaku

Coupe du monde gréco-romaine : L'Azerbaïdjan contre l'Iran pour le titre

By Vinay Siwach

BAKU, Azerbaïdjan (5 novembre) -- La Coupe du monde gréco-romaine à Baku a débuté avec la Turquie et l'Iran. Une bataille serrée s'est terminée avec la victoire de l'Iran, suivie d'une victoire sur le Kirghizstan pour obtenir une place en finale. Dans le Groupe A, l'Azerbaïdjan et l'équipe All-World se sont affrontés et ont terminé par 5 victoires chacun.  Au classement, l'Azerbaïdjan a battu l'équipe All-World 22 à 20. La Turquie et le Kirghizstan ont lutté pour une place dans le match de la 3/4ème place contre l'équipe All-World. La Turquie a battu le Kirghizstan 7-3.

Azerbaïdjan affrontera l'Iran pour le titre de la Coupe du monde tandis que la Turquie et l'équipe All-World s'affronteront pour la troisième place. L'action commencera à 17:00 heure locale à Baku.

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22:25 : Le dernier combat de la journée et le champion du monde U23 Fatih BOZKURT (TUR) épingle Erlan MANATBEKOV (KGZ) en 130kg pour donner à la Turquie une victoire 7-3 dans le duel.

22:20 : Metehan BASAR (TUR) l'a fait pour la Turquie. Sa victoire sur U. DZHUZUPBEKOV (KGZ) est la sixième du duel pour la Turquie qui affrontera l'équipe All-World pour le bronze.

22:05 : Drame tardif dans le combat des 87kg entre A. AZISBEKOV (KGZ) et Ali CENGIZ (TUR). Azisbekov menait 1-1 sur critères quand il a essayé de projeter Cengiz. A la fin de la mêlée, Azisbekov mène 3-3. La Turquie conteste l'appel et il semble que Cengiz a commis une faute de jambe. Le score est 4-1 et Azisbekov gagnera le combat avec ce score. Le Kirghizstan mène 5-3 avec deux combats restant.

21:52 : Le champion du monde Burhan AKBUDAK (TUR) avec deux énormes projections remporte une victoire par supériorité technique 9-0 sur Kalidin ASYKEEV (KGZ). Maintenant la Turquie a besoin d'une seule victoire pour être qualifiée pour le match de la médaille de bronze contre l'équipe All-World.

21:45 : Akylbek TALANTBEKOV (KGZ) a réussi à revenir sur Yuksel SARICICEK (TUR) en seconde période mais il s'incline 5-5 sur critères et la Turquie mène désormais 4-2. Deux victoires de plus pour eux pour confirmer la place dans le combat pour la médaille de bronze.

21:35 : Le Kirghizstan avait besoin de cette victoire mais Selcuk CAN (TUR) s'oppose à Adilkhan NURLANBEKOV (KGZ) en 72kg avec une victoire 5-3 et la Turquie mène désormais le combat 3-2.

21:22 : Murat FIRAT (TUR) s'impose pour la Turquie. Il bat IBRAGIMOV Khalmurat (KGZ) 6-1 en 67kg et la Turquie égalise le duel 2-2 contre le Kirghizstan. 

21:10 : Ahmet UYAR (TUR) ramène une victoire en battant Kaly SULAIMANOV (KGZ) 5-1 en 63kg. La Turquie a maintenant un victoire contre deux pour le Kirghizstan. 

21:00 : Une avance 2-0 maintenant pour le Kirghizstan. Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ) bat Mukremin AKTAS (TUR) 6-1 et poursuit le bon départ pour le Kirggizstan. Les deux nations s'affrontent pour une place pour le combat de la médaille de bronze contre l'équipe All-World.

20:50 : Quel spectacle de la part de Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ) qui fait rouler Ekrem OZTURK (TUR) pour un quatre point avant d'obtenir un gut pour faire 6-0. Un takedown lui donne la victoire 8-0.

20:40 : Maintenant pour le dernier match de la session. La Turquie affronte le Kirghizistan pour une place dans le match pour la médaille de bronze contre All-World. Nous commençons paEV (AZE) 5-2 et maintenant l'équipe All-World a une chance de gagner. En 130kg, Mantas KNYSTAUTAS (UWW) doit épingler Sabah SHARIATI (AZE).r les 55kg avec Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ) contre Ekrem OZTURK (TUR).

Le match aurait pu tourner en faveur de l'équipe All-World si Joni KHETSURIANI (UWW) avait marqué un point contre Hasrat JAFAROV (AZE). Un cas de si et de mais, mais finalement c'est l'Azerbaïdjan qui se qualifie pour la finale.

20:30 : Mantas KNYSTAUTAS (UWW) obtient la victoire 5-1 sur Sabah SHARIATI (AZE) mais il ne parvient pas à l'épingler. Cela signifie que l'Azerbaïdjan se qualifiera pour la finale sur la base des points de classement. Les deux équipes ont eu cinq victoires mais l'Azerbaïdjan a 22 points de classement contre 20 pour l'équipe All-World.

20:15 : Nikoloz KAKHELASHVILI (UWW) ajoute du drame à ce duel. Il bat Arif NIFTULLAY

20:07 : L'équipe All-World peut-elle faire un retour ? Alex KESSIDIS (UWW) bat Murad AHMADIYEV (AZE) 3-2 pour porter le score à 5-3. L'équipe All-World doit gagner les deux combats restants par supériorité technique ou par chute. 

20:00 : Dans une revanche des Championnats du Monde, Jalgasbay BERDIMURATOV (UWW) lutte contre Rafig HUSEYNOV (AZE) en 82kg. Berdimuratov abandonne le premier par terre mais s'en sort rapidement. Berdimuratov prend l'avantage dans la deuxième période. Huseynov parvient à obtenir un lift et une projection mais elle n'est pas comptabilisée. L'Azerbaïdjan conteste et la vérification confirme un contact à trois points et deux points pour Huseynov. Berdimuratov obtient un takedown mais Huseynov conteste à nouveau un leg four par Berdimuratov. Huseynov gagne 3-1. L'Azerbaïdjan mène maintenant 5-2.

19:42 : Sanan SULEYMANOV (AZE) avec une victoire très importante en 77kg sur Zoltan LEVAI (HUN). Les deux se sont échangés des passivités mais Suleymanov a obtenu le tour. Levai a tenté une projection désespérée à la fin mais Suleymanov l'a retourné dans ses propres attaques et a marqué 5 points par suplex.

19:30 : Le médaillé de bronze des championnats du monde Andrii KULYK (UWW) et le médaillé d'argent Ulvi GANIZADE (AZE) en 72kg maintenant. Ganizade obtient le premier avantage mais alors qu'il tente de soulever et de projeter Kulyk, il est plaqué au sol par Kulyk qui mène 2-1. Dans la deuxième période, Kulyk prend l'avantage mais ne parvient pas à se retourner. Mais un Ganizade fatigué se précipite pour un takedown mais ne parvient pas à contrôler et abandonne un takedown et un tour. Kulyk gagne 7-1 pour revenir dans l'équipe All-World.

19:23 : L'Azerbaïdjan a fait un grand pas vers la finale avec Hasrat JAFAROV (AZE) qui a battu Joni KHETSURIANI (UWW) 5-0 chez les 67kg. Cette victoire porte le score à 3-1 pour l'Azerbaïdjan. Le fait que Khetsuriani n'ait pas marqué de point nuit également aux chances de l'équipe All-World.

19:10 : Leri ABULADZE (UWW) et Taleh MAMMADOV (AZE) luttent maintenant en 63kg. Abuladze obtient le premier point pour  passivité de Mammadov. Mais il n'arrive pas à obtenir de tour. Mammadov obtient le point dans la deuxième période. Il mène 1-1 sur critères. Une troisième passivité du combat et va contre Mammadov. Abuladze ne peut toujours pas prendre l'avantage. Il a un peu plus d'une minute pour briser le critère de 1-1. Mammadov tient bon pour une victoire de 1-1.

19:00 : Une chute pour Aidos SULTANGALI (UWW) sur Murad MAMMADOV (AZE) chez les 60kg ! Une victoire cruciale pour l'équipe All-World car la chute leur donne cinq points de classement. En cas d'égalité 5-5, cette victoire peut s'avérer décisive.

18:50 : Cela ne se produit pas pour Nugzari TSURTSUMIA (UWW). Il se couche une nouvelle fois contre Eldaniz AZIZLI (AZE). Une passivité pour Azizli et il obtient ensuite un turgut wrenchn à deux points avant un jet pour quatre points. Un gut wrench pour terminer le combat 9-0.

18:45 : L'heure est venue pour l'Azerbaïdjan contre All-World. Le premier combat en 55kg est celui d'Eldaniz AZIZLI (AZE) contre Nugzari TSURTSUMIA (UWW).

18:42 : Une énorme victoire pour Aliakbar YOUSOFI (IRI). Il épingle Erlan MANATBEKOV (KGZ) en 130kg pour compléter la déroute 8-2 du Kirghizistan.

18:35 : C'était un suspense. Mehdi BALIHAMZEHDEH (IRI) menait Uzur DZHUZUPBEKOV (KGZ) 3-1 jusqu'à la dernière minute mais Balihamzehdeh réussit à marquer un takedown pour une victoire 3-3.

18:22 : En 87kg, Abolfazl CHOUBANI (IRI) et A. AZISBEKOV (KGZ) sont engagés dans un combat. Azisbekov prend l'avantage 1-0 pour un par terre et ensuite une exposition pour faire 3-0. Le Kirghizistan conteste pour une faute de jambe mais c'est propre. Choubani marque un point pour passivité mais Azisbekov obtient un quatre points et ensuite un takedown pour gagner 9-2.

18:10 : La première défaite pour l'Iran dans ce match. Kalidin ASYKEEV (KGZ) obtient un lift inversé pour deux points de par terre contre Mohammadhossein MAHMOODI (IRI) à 82kg. L'Iran conteste la décision mais le renvoi montre qu'il s'agit en fait de quatre points. Asykeev gagne 6-1.

18:00 : Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) avec une victoire 7-1 sur Akylbek TALANTBEKOV (KGZ) en 77kg. Un quatre-points dans cette victoire car Mokhtari a produit une rotation complète dans cette projection.

17:50 : Amir ABDI (IRI) confirme la place en finale pour l'Iran. Il bat Adilkhan NURLANBEKOV (KGZ) en 72kg et avec cela, l'Iran va essayer de gagner le titre dimanche.

17:37 : Seyed SOHRABI (IRI) est inarrêtable ici à Bakou. Il force la première passivité du combat contre Khalmurat IBRAGIMOV (KGZ) et obtient ensuite trois tours pour mener 7-0. Ibragimov l'attrape dans le tour pendant le quatrième tour pour obtenir deux points au tableau et cherche un pin mais la tête de Sohrabi était en dehors de la zone. Le Kirghizistan a contesté cette décision mais a perdu. Un lock pour un takedown confirme une victoire 10-2 pour Sohrabi.

17:30 : Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) et Kaly SULAIMANOV (KGZ) luttent en 63kg. Khoon Mohamadi utilise l'arm drag à la perfection. Il marque un mouvement à quatre points avant d'ajouter de nombreux stepouts. Sulaimanov tente un quatre désespéré mais échoue. Khoon Mohammadi gagne 12-1.

17:22 : Mehdi MOHSEN NEJAD (IRI) avec une victoire nette 5-0 sur Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ) et l'Iran mène 2-0. Cette victoire relâche la pression sur les lutteurs à venir car l'Iran a besoin d'une victoire supplémentaire pour écarter toute possibilité que la Turquie ou le Kirghizistan prennent sa place.

17:10 : L'Iran n'engage pas son équipe de réserve. Poya DAD MARZ (IRI) sortira pour le combat des 55kg contre Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ). Dad Marz est appelé pour passivité dans la première période mais il se défend bien du par terre. Dad Marz marque un stepout pour faire 1-1 à la pause. Beishenbek Uulu ne peut pas défendre les tentatives de par terre de Dad Marz dans la deuxième période et abandonne quatre points. Un avertissement et deux points contre Beishenbek Uulu avant un stepout confirment la victoire 9-1 du lutteur iranien.

1700 : Bienvenue à la séance du soir de la Coupe du monde gréco-romaine. L'Iran et le Kirghizistan luttent. Ce dernier espère surprendre l'Iran et espère se qualifier pour la finale.

Fin d'une première session divertissante dans laquelle l'Iran a réussi à prendre le dessus sur la Turquie. Une victoire 6-4 a donné à l'Iran un avantage énorme et a pratiquement placé l'équipe en finale. La deuxième session commence à 17h00 heure locale.

L'Iran affronte le Kirghizstan avant que l'Azerbaïdjan ne reçoive l'équipe All-World. Le dernier match de la session du soir sera Turquie contre Kirghizstan.

11:50 : Osman YILDIRIM (TUR) et Aliakbar YOUSOFI (IRI) sont maintenant sur le tapis pour leur combat en 130kg. Yildirim mène 1-0 pour passivité et un tour fait 3-0. Mais Yousofi marque trois stepouts et un point contre Yildirim donne l'avantage 4-3 à Yousofi. Yildirim, aussi calme qu'il est, marque un takedown sur le bord et reprend l'avantage. Un point pour Yousofi pour la passivité de Yildirim mais le lutteur turc mène 5-5 sur critères et cela restera le score puisque Yousofi subit une défaite serrée.

11:40 : C'est simple pour la Turquie : Metehan BASAR (TUR) ne peut pas se permettre de perdre. Mehdi BALIHAMZEHDEH (IRI) a construit une avance de 4-0 mais Basar reçoit deux points pour avertissement. Basar a une minute pour marquer deux points et gagner. Mais Balihamzehdeh le tient à distance et gagne 4-2 et cette victoire confirme la victoire de l'Iran dans ce match.

11:32 : Quelques défis ont fait que le combat des 87kg entre Ali CENGIZ (TUR) et Hamidreza BADKAN (IRI) semblait interminable. Mais pour ce que ça vaut, Cengiz gagne le combat 11-2 et garde la Turquie dans la course. Cengiz renverse la position de par terre et obtient trois expositions ainsi qu'une faute de Badkan pour mener 8-2 à la fin de la séquence. Il gagne 11-2 dans la deuxième période.

11:10 : Le champion du monde Burhan AKBUDAK (TUR) gagne le deuxième pour la Turquie. Il était mené 3-0 à la pause, Alireza MOHMADIPIANI (IRI) ayant obtenu le premier point et le tour. Mais Akbudak marque un takedown pour commencer la deuxième période avant que Mohmadipiani ne soit appelé pour passivité. Akbudak obtient deux tours à partir de là pour mener 7-3. Un takedown tardif de Mohmadipiani mais Akbudak gagne 7-5 en 82kg. 

10:55 : Le médaillé de bronze des Championnats du monde, Yunus BASAR (TUR), ramène un point pour la Turquie. Il menait Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) 2-0 à la pause mais Basar obtient le point de passivité dans la deuxième période. Mokhtari fuit la prise. L'arbitre ne l'annonce pas mais la Turquie conteste et le point est accordé à Basar. Le combat reprend en par terre d'où Basar marque un stepout. Un challenge de l'Iran qu'il perd. Basar gagne 6-2 pour mettre la Turquie sur le tableau.

10:45 : Seluk CAN (TUR) a une énorme responsabilité sur ses épaules. Il lutte contre Mohammadreza ROSTAMI (IRI) en 72kg avec l'espoir de faire tourner la situation pour son équipe. Mais Rostami mène 2-0 à la pause. Can se met en évidence par la passivité de Rostam dans la deuxième période. Mais il n'arrive pas à obtenir le tour. Rostami s'accroche pour une avance de 2-1 et la victoire. L'Iran a gagné 5 combats maintenant. Une victoire de plus la scellera.

10:35 : Luttant maintenant en 67kg, le champion du monde U20 et U23 pour l'Iran Seyed SOHRABI (IRI) contre Murat FIRAT (TUR). Sohrabi est l'un des talents les plus excitants du moment. Il commence par une vrille pour deux. Sohrabi frappe ensuite un quatre pour mener 6-0. La Turquie conteste l'appel mais les points sont maintenus. Sohrabi mène 7-0 avant qu'un stepout ne lui donne la victoire 8-0. Un autre combat dans lequel la Turquie ne marque pas de point. Cela pourrait leur nuire plus tard.

10:30 : Avec une avance de 2-0, l'Iran va chercher à conclure. Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) et Ahmet UYAR (TUR) luttent chez les 63kg et c'est Khoon Mohammadi qui marque quatre stepouts dans les deux premières minutes. Il obtient un takedown pour mener 6-0 avant de terminer le combat avant la pause avec un gut wrench. L'Iran mène 3-0.

10:15 : Kerem KAMAL (TUR) et Mehdi MOHSEN NEJAD (IRI) en 60kg dans un combat de revanche. Mohsen Nejad menait son combat contre Kamal aux Championnats du Monde de Belgrade avant que Kamal ne le cloue au sol. Ici à Bakou, Mohsen Nejad sort en attaquant du par terre et obtient le gut wrench avant que l'exposition ne lui en donne deux autres. Kamal conteste le deuxième appel. Défi perdu. Dans la deuxième période, Kamal réussit à obtenir un lift inversé pour deux pour faire 6-3. Mais il donne aussi deux points et c'est 8-3. Trois points de sortie pour Kamal mais il ne parvient pas à couvrir l'avance et perd 8-6.

10:10 : Ekrem OZTURK (TUR) et Poya DAD MARZ (IRI) est le premier combat de la Coupe du Monde en 55kg. Ozturk prend l'avantage avec un point de passivité. Il ne parvient pas à obtenir un tour en par terre. En deuxième période, Dad Marz prend l'avantage avec un point de passivité. Il ne parvient pas non plus à obtenir un tour en par terre. Dad Marz gagne 1-1 malgré la troisième passivité contre lui. Une victoire énorme pour l'Iran.

10:00 : Bienvenue à la première session de la Coupe du monde gréco-romaine ici au Baku Sports Hall. Nous avons une configuration à un tapis pour la Coupe du Monde. L'Iran et la Turquie s'affrontent maintenant.